Jeudimatin, l’association Nox Diving a coordonnĂ© une opĂ©ration de remontĂ©e d’un filet de pĂȘche Ă©chouĂ©e par 50 mĂštres de fond sur l’épave du Ville de Grasse entre la Tour fondue et J’ai choisi de prĂ©senter les poissons de mer que l’on rencontre le long de nos rivages de France, en Mer du Nord, en Manche, Atlantique et en MĂ©diterranĂ©e en fonction des endroits oĂč je pĂȘche et au grĂ© de mes visites et balades dans les aquariums. Table des matiĂšres1 AthĂ©rine2 Baliste3 Bar et Loup de mer4 Barracuda EuropĂ©en5 Cernier ou MĂ©rou gris6 Congre – un poisson solitaire7 Dorade royale et dorade grise8 FlĂ©tan de 203 kg9 Grondin perlon10 Le hareng et les bancs de poissons11 Le Lieu Jaune12 Lieu noir ou Colin13 Maquereau14 Merlan15 Morue ou Cabillaud16 La Motelle parfois appelĂ© Loche de mer17 6 Mulets des cĂŽtes françaises18 Orphie ou aiguillette19 Poisson-Lapin sur nos cĂŽtes20 Les poissons plats des plages et des estuaires21 La raie bouclĂ©e22 Requin Griset un poisson des grandes profondeurs de la Le requin renard – Un requin de 4 m dans les filets23 Tacaud24 Le turbot commun25 Vieille Commune ou mĂ©rou breton26 La Petite Vive enfouie dans le sable27 Notes – Les façades maritimes françaises AthĂ©rine Atherina LinnĂ©, 1758Autres noms prĂȘtre, JoĂ«l , faux Ă©perlanFamille des AtherinidĂ©sZone gĂ©ographique Manche, MĂ©diterranĂ©e, Atlantique, eaux saumĂątres L’athĂ©rine est un petit poisson allongĂ©, presque transparent, d’une teinte bleu-vert et brillant avec 2 nageoires dorsales sĂ©parĂ©es. Sa bouche est orientĂ©e vers le haut. On dit Ă©galement qu’il a de grands yeux. La taille est de l’ordre de 5 cm Ă  20 cm au maximum. Il se nourrit de planctons, de larves, de petits pourrait le confondre avec l’anchois ou l’ vit en Manche, en MĂ©diterranĂ©e, en Atlantique dans les ports mais Ă©galement dans les estuaires et les Ă©tangs littoraux. Le frai se situe d’avril Ă  juillet en eau douce ou saumĂątre. Techniques de pĂȘche Les athĂ©rines peuvent ĂȘtre pĂȘchĂ©es Ă  la ligne avec un petit flotteur, un bas de ligne en 8/100 et un hameçon de 18 ligne pour le gardon.les bouchĂ©es sont forcĂ©ment de petites tailles morceau de sardine, de ver, de moule, de crevette dĂ©cortiquĂ©e. La nĂ©rĂ©ide reste un appĂąt de choix. La pĂ©riode de pĂȘche est de mai Ă  novembre le long de la cĂŽte atlantique et manche- tout le temps en MĂ©diterranĂ©e. Atherina boyeri Risso, 1810 The image created by © Yuriy Kvach , via Wikimedia Commons Baliste Le baliste est un poisson connu Ă©galement sous le nom de bĂ©cune », arbalĂ©trier ou cochon de mer, c’est un poisson des eaux tropicales et habite les rĂ©cifs coralliens. Balistes capriscus Gmelin, 1789Famille des BalistidĂ©sAutres noms bĂ©cune, arbalĂ©trier, cochon de merZone gĂ©ographique MĂ©diterranĂ©e, AtlantiqueEspĂšce au statut de conservation vulnĂ©rableVU Le baliste pĂȘchĂ© sur nos cĂŽtes peut atteindre 40 cm mais sa chair n’est pas est pourvu d’un corps profilĂ© en forme de torpille, de gros yeux et d’une mĂąchoire infĂ©rieure proĂ©minente armĂ©e par une sĂ©rie impressionnante de petites dents pointues qui en font un excellent prĂ©dateur coquillages et crustacĂ©s.Sa peau est recouverte d’écailles rugueuses la bouche est petite par rapport au corps et Ă  la taille de la tĂȘte. Son corps est brun jaunĂątre, ornĂ© de lignes et motifs bleutĂ©s ses nageoires sont baliste vit sur des fonds rocheux Ă  partir de dix Ă  quinze mĂštres de profondeur en saison chaude. Il meurt en dessous d’une eau de 13-14 degrĂ©sLe baliste gris, observĂ© en Manche, vit le long des cĂŽtes africaines, mĂ©diterranĂ©ennes. Des balistes observĂ©s jusqu’en Mer du Nord Le baliste est un poisson que l’on rencontre communĂ©ment en MĂ©diterranĂ©e et pourtant des tĂ©moignages montrent que l’on peut aujourd’hui le rencontrer sur l’ensemble des cĂŽtes françaises. Des balistes, nous en voyons par bancs de 50 Ă  100 spĂ©cimens. Nous en pĂȘchons excellent comme poisson. Il s’épluche comme une raie faire une entaille sous l’ouĂŻe, passer le doigt dans l’entaille et tirer sur la peau de toute ses habitons le Morbihan et pĂȘchons Ă  Fort BloquĂ© fort de Keragan dans la commune de PlƓmeur dans le Morbihan. »– commentaire laissĂ© sur le site en 2009 par vanlor. Des pĂȘcheurs du Nord-Pas-de-Calais ont Ă©galement ramenĂ© dans leurs filets des balistes, poissons devenus plus frĂ©quents sur nos cĂŽtes. Des balistes ont aussi Ă©tĂ© repĂ©rĂ©s jusqu’en Irlande, probablement Ă  cause de la lente dĂ©rive septentrionale de larves dans les eaux de surface chaude et sursalĂ©e qu’elles affectionnent. » – Karine Leroy – Paris-Normandie Baliste – Aquarium d’Arcachon 2017 Bar et Loup de mer Dicentrarchus labrax LinnĂ©, 1758Famille des MoronidĂ©sAutres noms Bar franc, bar europĂ©en, Loubine, Louvine, Drenek, Sea BassZone gĂ©ographique MĂ©diterranĂ©e, Mer du Nord, Manche, AtlantiqueTaille minimale Ă  respecteret rĂ©glementation particuliĂšre pour la pĂȘche Bar photographiĂ© Ă  la citĂ© de la mer Ă  Dieppe, 2016 Barracuda EuropĂ©en Sphyraena sphyraena LinnĂ©, 1758Noms locaux Brochet de mer, BĂ©cune europĂ©enneFamille des SphyraenidĂ©saeZone gĂ©ographique MĂ©diterranĂ©e Le barracuda europĂ©en se rencontre le long des cĂŽtes mĂ©diterranĂ©ennes entre 0 et 100 mĂštres de mesure 40 Ă  50 cm de long mais il pourrait atteindre une taille maximale de 1,65 m pour un poids de 3,6 kg infos fishbase.Le barracuda prĂ©sente un corps profilĂ© en forme de torpille qui leur permet d’atteindre de fortes pointes de vitesse, des gros yeux, une mĂąchoire infĂ©rieure proĂ©minente et de fortes dents disposĂ©es en lame de scie. C’est un redoutable espĂšces de barracudas vivent en MĂ©diterranĂ©e comme le Sphyraena flavicauda aussi nommĂ© queue grand barracuda, Sphyraena barracuda, peut mesurer plus de 2 mĂštres et peser plus de 40 kg, est un poisson des mers tropicales et subtropicales. Les Barracudas By albert kok [GFDL or CC BY-SA ], via Wikimedia Commons Cernier ou MĂ©rou gris Polyprion americanus Bloch et Schneider, 1801Autres noms MĂ©rou gris, Cabot, Vieille de boisFamille des PolyprionidĂ©sZone gĂ©ographique Atlantique et MĂ©diterranĂ©eEspĂšce quasi-menacĂ©e NT Liste rouge europĂ©enne de l’UICN 2015 Le cernier adulte vit sur les fonds rocheux du large ou de corail, entre 40 et 400 m, mais Ă©galement sur les Ă©paves de l’Atlantique et de MĂ©diterranĂ©e. On ne le trouve pas en Mer du se nourrit de poissons de belles tailles, mais aussi de crustacĂ©s ainsi que de Cernier est d’une teinte gris-noir violacĂ©e, du cĂŽtĂ© de la bouche il prĂ©sente un menton saillant. Sa taille maximale est de 2 mĂštres pour un poids pouvant atteindre les 50 Ă  70 adultes sont solitaires et vivent en profondeur. Les jeunes se retrouvent souvent sous des objets flottants en surface et sous des pontons, son surnom de vieille des bois vient sans doute de cette cernier est hermaphrodite. Ainsi lorsqu’il atteint sa maturitĂ© celui-ci est femelle, il devient mĂąle en taille biologique, celle pour laquelle les cerniers communs se sont reproduits, est de 90 un poisson d’eau profonde qui est menacĂ© par la surpĂȘche car sa chair est trĂšs estimĂ©e. Cernier, aquarium de MarĂ©is, 2012 Cernier, aquarium de MarĂ©is, 2012 Congre – un poisson solitaire Le congre est un poisson serpentiforme Ă  la mĂąchoire supĂ©rieure saillante. Il adapte sa couleur selon son environnement mais ses flancs sont plus clair que le dos. Par ailleurs, au siĂšcle dernier on pensait qu’il y avait deux espĂšces de congre une blanche et une autre noire. Il arrive de confondre un jeune congre avec l’anguille. Nous pouvons le trouver de la Mer du Nord Ă  la MĂ©diterranĂ©e, Ă  proximitĂ© des rochers et des abris les plus divers comme les Ă©paves et les anfractuositĂ©s, aussi bien au large qu’en bord de mer. Poisson solitaire et craintif, il chasse Ă  l’affĂ»t en pleine eau mais prĂšs de son antre. Le frai se situe en pĂ©riode estivale et en pleine mer et les larves vivent dans les eaux fonds. L’espĂšce est dite fragile en raison de son faible taux de reproduction et de sa maturitĂ© sexuelle se nourrit de poissons, crevettes, crabes, langoustes, homards, c’est un carnivore. Technique de pĂȘche Le congre frĂ©quente les trous des zones rocheuses ne se dĂ©couvrant pas. On peut le pĂȘcher du bord ou en bateau avec un plomb et un bas de ligne en appĂąts sont surtout le crabe mou, sardine, morceau de maquereau, lançon, encornet. On le pĂȘche de prĂ©fĂ©rence de septembre Ă  novembre, tout le temps en MĂ©diterranĂ©e. Congre – Aquarium d’Arcachon, 2017 Dorade royale et dorade grise Sparus aurata et Spondyliosoma cantharus LinnĂ©, 1758Famille des sparidĂ©sZone gĂ©ographique MĂ©diterranĂ©e, Manche, Atlantique Daurade – Les Saintes-Maries-de-la-Mer, 2011 FlĂ©tan de 203 kg Hippoglossus hippoglossus LinnĂ©, 1758Autres noms colin noir, merlucheFamille des PleuronectidĂ©sZone gĂ©ographique Mer du Nord, manche, AtlantiqueEspĂšce en danger Le poisson, pĂȘchĂ© par un chalutier, vaudrait prĂšs de 2 300 euros et pourrait nourrir prĂšs de 500 personnes. Si un flĂ©tan moyen pĂšse environ 1,9 kg, c’est prĂšs de 100 fois moins que ce gĂ©ant pĂȘchĂ© derniĂšrement. L’animal a Ă©tĂ© vendu sur un marchĂ© Ă  un poissonnier local. » C’est un monstre. C’est le plus grand que j’ai jamais vu depuis que je travaille ici », s’étonne l’homme chargĂ© de le les spĂ©cialistes, le poisson a dĂ» grandir de la sorte en Ă©vitant les filets de pĂȘche pendant longtemps. Si le flĂ©tan mange principalement d’autres poissons comme la morue et le hareng, son taux de croissance varie notamment en fonction de la disponibilitĂ© de la nourriture prĂ©sente dans son environnement. FlĂ©tan de 203 kg – photo Zigounet Grondin perlon Chelidonichthys lucerna ou Trigla lucerna LinnĂ©, 1758Autres noms Papillon, gallineFamille des AtherinidĂ©sZone gĂ©ographique MĂ©diterranĂ©e, Atlantique, Manche et mer du NordTaille maximal 60 cm On lui donne ce nom Ă  cause du grondement qu’il fait entendre quand on le sort de l’eau. Ce grondement est produit par la vibration de la vessie natatoire sous l’action de muscles spĂ©ciaux. Les trois rayons infĂ©rieurs des nageoires pectorales sont sĂ©parĂ©s des autres et peuvent se mouvoir sĂ©parĂ©ment comme des doigts. Ils servent Ă  la fois d’organes tactiles et de propulseurs quand le poisson repose sur le dĂ©veloppement particulier et la vive coloration des nageoires pectorales lui valent aussi le nom de un poisson de fond que l’on peut rencontrer nageant entre deux-eaux, de 10 Ă  150 mĂštres normalement. Il se rapproche des cĂŽtes en Ă©tĂ© et se nourrit de petits poissons de fond, de crevettes, de crabes. Il se pĂȘche Ă  la senne par les grondin perlon se capture occasionnellement Ă  la ligne et aux appĂąts naturels, au petit leurre prĂšs du fond rockfishing.Il est apprĂ©ciĂ© pour sa chair ferme et blanche. Grondin – Aquarium d’Arcachon, 2017 Grondin – Aquarium d’Arcachon, 2017 Grondin – Aquarium d’Arcachon, 2017 Le hareng et les bancs de poissons Clupea harengus LinnĂ©, 1758Famille des ClupeidĂ©sZone gĂ©ographique Mer du Nord, Manche, Atlantique Les harengs vivent en grands bancs dans les eaux froides et chaque individu peut atteindre la taille de 40 centimĂštres de long. Ils vivent en profondeur le jour et se rapprochent de la surface la hareng n’est pas un poisson que l’on prend Ă  la ligne mais aux filets dĂ©rivants, aux chaluts pĂ©lagiques, c’est une pĂȘche rĂ©servĂ©e aux pĂȘcheurs professionnels. Il y a encore quelques dĂ©cennies, les pĂȘcheurs Ă  pied les piĂ©geaient dans des filets verticaux posĂ©s sur le sable. On appelait ces filets des Ă©taliĂšres. Clupea harengus By Gervais et Boulart [Public domain], via Wikimedia Commons Le Lieu Jaune Pollachius pollachius LinnĂ©, 1758Autres noms Merlu, merluche, colin, pollackFamille des GadidĂ©sZone gĂ©ographique Atlantique, Manche, Mer du Nord Lieu jaune, photographie prise Ă  l’aquarium Estran, la citĂ© de la mer – Dieppe, 2016 Lieu noir ou Colin Pollachius virens LinnĂ©, 1758Autres noms colin noir, merlucheFamille des GadidĂ©sZone gĂ©ographique Mer du Nord, manche, Atlantique Le lieu noir est un poisson que l’on rencontre communĂ©ment en Atlantique Nord. Il vit en bancs en pleine eau ou prĂšs du fond, dans une zone allant de la cĂŽte Ă  200 mĂštres de poisson est souvent appelĂ© Colin, son nom commercial. A noter que le terme de Colin se rĂ©fĂšre Ă  divers poissons sur les Ă©tals comme le merlu, le colin d’Alaska et le lieu lieu noir est un poisson Ă  la mĂąchoire infĂ©rieure proĂ©minente et au ventre argentĂ©. La ligne latĂ©rale est bien marquĂ©e, blanchĂątre et les jeunes prĂ©sentent un petit barbillon sous le menton, celui-ci disparaĂźt une fois adulte. A l’age de cinq ans, il mesure dans les 50 cm et vit une trentaine d’annĂ©es. Il peut alors atteindre 1,3 frai se produit de dĂ©cembre Ă  mars selon la rĂ©gion dans une profondeur de 100 et 200 m et dans des zones rocheuses. La femelle peut pondre jusqu’à 4 000 000 d’Ɠufs. DĂšs que les larves atteignent quelques centimĂštres, ceux-ci rejoignent les eaux cĂŽtiĂšres. Ils y resteront deux bonnes annĂ©es. PĂȘche du bord Autrefois abondant, le lieu noir pouvait ĂȘtre pĂȘchĂ© au surf-casting sur la plage d’Étretat en Normandie en mars-avril une information Ă  valider. Pollachius virens By Tino Strauss [GFDL or CC BY-SA from Wikimedia Commons Maquereau Scomber scombrus LinnĂ©, 1758Famille des ScombridĂ©sAutres noms maquereau bleu, maquereau communZone gĂ©ographique MĂ©diterranĂ©e, Mer du Nord, Manche, Atlantique Le maquereau vit en pleine eau, en bancs de plusieurs centaines d’individus dans les mer du Nord, la Manche l’Atlantique et la MĂ©diterranĂ©e. On peut le rencontrer entre 0 et 250 m de migrateur, il vit l’étĂ© dans des eaux froides avant de repartir vers des eaux plus chaudes en un poisson au corps fuselĂ©. Son dos est bleu-vert, zĂ©brĂ© de raies noires, tandis que le ventre est d’un blanc maquereau mesure en moyenne entre 30 et 40 cm et dĂ©passe rarement la taille de 50 cm pour un poids de 500 g Ă  1 poisson se nourrit essentiellement de zooplancton. il chasse les poissons de petite taille comme les sardines ou les anchois, ainsi que de mollusques et petits crustacĂ©s pendant la pĂ©riode de reproduction est sexuĂ©e en juin et juillet dans la Manche et la Mer du Nord. Technique de pĂȘche Le maquereau fait l’objet d’une pĂȘche industrielle intense mais son statut de prĂ©servation est classĂ© mineur LC. Le maquereau se pĂȘche Ă  la mitraillette Ă  partir des jetĂ©es et des embarcations. D’autres techniques comme le Jigging donnent d’excellent rĂ©sultat. Maquereau, Banyuls-sur-Mer 2003 Merlan Merlangius merlangus LinnĂ©, 1758Autres noms Whiting en anglaisFamille des GadidĂ©sZone gĂ©ographique Atlantique, manche, Mer du Nord, absent en MĂ©diterranĂ©eStatut de conservation prĂ©occupation mineure LC Le Merlan By KrĂŒger [Public domain], via Wikimedia Commons Morue ou Cabillaud Gadus morhua LinnĂ©, 1758Autres noms morue commune, cabillaudFamille des GadidĂ©sZone gĂ©ographique Atlantique-Nord, Manche, Mer du NordStatut de conservation vulnĂ©rable VU Poisson de la famille des GalidĂ©s, connu aussi sous le nom de Cabillaud. Sa taille varie entre 50 et 90 cm. Absent de la MĂ©diterranĂ©e, il vit dans les eaux froides. Morue, MarĂ©is Ă  Étaples, 2012 La Motelle parfois appelĂ© Loche de mer Ciliata mustela LinnĂ©, 1758Famille GadidĂ©sNoms locaux Nounch, cinq barbesZone gĂ©ographique Atlantique Nord-Est, Manche et Mer du Nord La motelle a un corps allongĂ©, de couleur plus ou moins brune. D’une longueur de 15 Ă  35 cm, la motelle dispose d’un barbillon sous le menton et quatre autres sur le museau. La nageoire dorsale est longue et, curiositĂ© prĂ©sente un sillon creux en arriĂšre de la tĂȘte qui lui sert d’organe sensoriel. Elle vit sur les fonds meubles ou rocheux jusqu’à une dizaine de mĂštres de profondeur et se nourrit de petits crustacĂ©s, mais Ă©galement de vers et de gastĂ©ropodes et d’ la rencontre sur les cĂŽtes atlantiques europĂ©ennes Manche et mer du Nord, dans les eaux dont la tempĂ©rature est comprise entre 8 et 24° femelle pond quelques dizaines de milliers d’Ɠufs Ă  la fin de l’hiver. On la connait Ă©galement comme loche de mer Technique de pĂȘche La motelle, farouche et nocturne, se prend accidentellement au surfcasting et en hiver pendant la pĂ©riode de reproduction. Motelle prise sur la plage de Leffrinckoucke, 2007 6 Mulets des cĂŽtes françaises Liza ramada Risso, 1810Mugil cephalus LinnĂ©, 1758Liza aurata Risso 1810Liza saliens Risso, 1810Chelon labrosus Risso 1827Oedalechilus labeo Cuvier, 1829Famille des MugilidĂ©sZone gĂ©ographique Mer du Nord, Manche, Atlantique, MĂ©diterranĂ©e Groupe de mulets. – Grau-du-Roi 2014 Orphie ou aiguillette Belone belone LinnĂ©, 1761Famille des BelonidĂ©sAutres nom aiguillette, aiguille, aiguille de merZone gĂ©ographique MĂ©diterranĂ©e, Atlantique, Manche et mer du Nord Belone belone By KrĂŒger [Public domain], via Wikimedia Commons Poisson-Lapin sur nos cĂŽtes L’inquiĂ©tante arrivĂ©e du poisson lapin prĂšs de nos cĂŽtes mĂ©diterranĂ©ennes, un article publiĂ© sur Nice-Matin le 7 dĂ©cembre 2009. Siganus luridus RĂŒppell, 1829Autres noms poisson lapin, sigan sombreFamille des SiganidĂ©sTaille 20 cmZone gĂ©ographique MĂ©diterranĂ©e C’est l’une des nombreuses espĂšces dites invasives, qui Ă©tendent leur habitat en profitant du rĂ©chauffement climatique ou du dĂ©veloppement des Ă©changes intercontinentaux. Avec des consĂ©quences plus ou moins nĂ©fastes pour les Ă©quilibres naturels des espaces nouvellement colonisĂ©s. Ainsi le poisson lapin Siganus luridus, un herbivore apparu rĂ©cemment prĂšs de nos cĂŽtes, serait Ă  classer parmi les envahisseurs particuliĂšrement redoutables. Tant son aptitude Ă  se multiplier pourrait menacer les vĂ©gĂ©taux de notre littoral et notamment les prĂ©cieux herbiers de prairies sous-marines en dangerOriginaire des mers chaudes, ce poisson de couleur brune et d’une vingtaine de centimĂštres de long est muni d’épines dorsales le protĂ©geant des prĂ©dateurs. AprĂšs la seconde guerre mondiale, il a traversĂ© le canal de Suez. Il s’est alors rĂ©pandu dans le bassin oriental de la MĂ©diterranĂ©e oĂč il a prolifĂ©rĂ©. 70 % des poissons frĂ©quentant les cĂŽtes libanaises sont des Siganus luridus souligne Ă  Nice le professeur Patrice Francour, du Laboratoire environnemental marin littoral de la facultĂ© des Sciences. Lors de plongĂ©es dans les eaux turques, j’ai observĂ© des bancs de 10 000 individus
Jusqu’ici, le poisson lapin ne s’était pas aventurĂ© en MĂ©diterranĂ©e occidentale. Sans doute parce que la tempĂ©rature de l’eau descendait trop bas en hiver – 13° – pour cette espĂšce d’origine tropicale explique Patrice Francour, qui prĂ©pare une publication scientifique sur le sujet. Toutefois, cette barriĂšre thermique ne semble plus opĂ©rante. En juillet 2007, un Siganus luridus fut ainsi dĂ©couvert dans les filets d’un pĂȘcheur de Carry-le-Rouet, prĂšs de Marseille. Deux explications sont avancĂ©es La tempĂ©rature chute toujours Ă  13° mais sur une pĂ©riode plus courte. Et puis, de l’eau chaude est drainĂ©e de l’est vers l’ouest de la MĂ©diterranĂ©e, Ă  la suite d’une modification des courants, vraisemblablement engendrĂ©e par une Ă©lĂ©vation du mercure en Europe orientale .Bref, les conditions seraient rĂ©unies pour favoriser l’installation sur nos cĂŽtes du poisson lapin. Celui-ci va jeter son dĂ©volu sur les algues brunes cystoseires et surtout sur les herbiers de posidonies. Au point de mettre en pĂ©ril ces prairies sous-marines servant de rĂ©servoirs de biodiversitĂ©, d’amortisseurs de houle et donc de protection contre l’érosion des rivages ? Toute la question est Fronzes – Monaco-Matin Siganus luridus – photographie Fishbase Siganus luridus – photographie Fishbase Les poissons plats des plages et des estuaires Solea solea LinnĂ©, 1758Famille des SoleidĂ©s Pleuronectes platessa LinnĂ©, 1758Platichthys flesus LinnĂ©, 1758Limanda limanda LinnĂ©, 1758Famille des PleuronectidĂ©s Carrelet – Nausicaa Ă  Boulogne-sur-Mer, 2007 La raie bouclĂ©e Raja clavata LinnĂ©, 1758Autres noms raie griseFamille des RajidĂ©sZone gĂ©ographique Mer du Nord, Manche, Atlantique, MĂ©diterranĂ©eStatut de conservation quasi menacĂ© NT La raie bouclĂ©e vit sur tous types de fond, de la cĂŽte jusqu’à 400 m de profondeur souvent enfouie dans le une espĂšce commune en Mer du Nord et dans l’Atlantique nord-est, on la trouve Ă©galement en poisson a la forme d’un losange plat dont le dos, d’une teinte brune parfois grisĂątre, se trouve parsemĂ© de taches sombres et raie bouclĂ©e prĂ©sente une queue colorĂ©e de zones transversales alternativement sombres et claires, ce qui lui donne un aspect taille commune oscille entre 40 et 90 cm, elle peut dĂ©passer le mĂštre. Elle se nourrit de petits poissons, de coquillages et de reproduction se produit au printemps dans des eaux peu profondes. les Ɠufs ont l’allure de coques cornĂ©es rectangulaires d’une taille d’environ 5 cm. On ne le sait pas toujours mais on retrouve ces enveloppes sur nos plages durant toute l’annĂ©e. Chaque embryon est enfermĂ© dans une capsule qui, aprĂšs l’éclosion, s’échoue gĂ©nĂ©ralement sur la laisse de mer. Ponte de raies, Estran CitĂ© de la mer, 2016 Requin Requin Griset un poisson des grandes profondeurs de la MĂ©diterranĂ©e Hexanchus griseus Bonnaterre, 1788Autres noms requin Ă  maquereauxFamille des HexanchidĂ©sZone gĂ©ographique MĂ©diterranĂ©eStatut de conservation quasi menacĂ© NT Le requin griset peut atteindre 4,82 m de long pour les plus grands rencontrĂ©s. Il possĂšde 6 paires de fentes branchiales, des petits yeux verts fluorescent et une seule nageoire dorsale. Le requin griset vit gĂ©nĂ©ralement dans les profondeurs des ocĂ©ans tempĂ©rĂ©s et dĂ©troit de Messine Italien Stretto di Messina; Sicilien Strittu di Missina est un dĂ©troit en mer MĂ©diterranĂ©e qui sĂ©pare la pĂ©ninsule italienne de l’üle de Sicile. Il relie la mer Ionienne au sud Ă  la mer TyrrhĂ©nienne au nord. Sa plus petite largeur est de 3,3 km. Les courants sont violents par endroit. Hexanchus griseus By Operation Deep Scope 2005 Expedition NOAA Office of Ocean Exploration; Harbor Branch Oceanographic Institution – Public domain, via Wikimedia Commons Monaco – Un monstre des grands fonds pĂȘchĂ© Ă  BeaulieuDans l’obscuritĂ© des grandes profondeurs de la MĂ©diterranĂ©e, d’impressionnantes crĂ©atures rĂŽdent. LĂ , par 1 200 mĂštres de fond, les requins grisets Hexanchus griseus rĂšgnent en maĂźtre. Leur fĂ©roce appĂ©tit les conduit sur les appĂąts des palangres posĂ©es par les pĂȘcheurs professionnels de Beaulieu-sur-Mer. Jean-Marc Magliona traque professionnellement ces requins grisets. Il vient une nouvelle fois de rĂ©aliser un sacrĂ© coup de pĂȘche en remontant, non sans peine, un Ă©norme requin de 3,40 m de long pour un poids de 270 kg. Il m’a fallu une matinĂ©e afin de le hisser Ă  la surface. Je n’en revenais pas de voir une telle bĂȘte accrochĂ©e Ă  un des hameçons » yeux verts fluorescentsCette prise reste exceptionnelle car il est rare que ces requins atteignent de telles dimensions. Le requin griset possĂšde six paires de fentes branchiales, des grands yeux verts fluorescents et une seule nageoire grand requin patibulaire est prĂ©sent dans tous les ocĂ©ans tempĂ©rĂ©s et tropicaux de la planĂšte bleue et fait partie des espĂšces menacĂ©es. Ce monstre, une fois dĂ©coupĂ©, terminera dans les assiettes des restaurants de la CĂŽte d’ Duliere – Jean-Marc Magliona et sa bĂȘte » de 270 kg pĂȘchĂ©e Ă  la palangre dans les profondeurs de Beaulieu-sur-Mer photographie Le requin renard – Un requin de 4 m dans les filets Alopias vulpinus Bonnaterre, 1788Autres noms renard de merFamille des AlopiidĂ©sZone gĂ©ographique Mer du Nord, Manche, Atlantique, MĂ©diterranĂ©eEspĂšce VulnĂ©rable Le bateau le Gros Loulou a ramenĂ© dans ses filets un requin de 4,10 m accusant quelque 200 kg sur la balance. Le molosse a Ă©tĂ© pĂȘchĂ© au large du Havre, en direction de n’est pas rare de voir des requins d’1,50 m dans les eaux du coin, mais de cette taille-lĂ  c’est assez exceptionnel , commente Guy Perchey, pĂšre d’Arnaud, qui a ramenĂ© la bĂȘte Ă  son bord avant de repartir en mer. Le requin a Ă©tĂ© vendu Ă  un exportateur italien de Saint-Vaast-la-Hougue dans la Manche. D’aprĂšs les pĂȘcheurs, il s’agirait d’un requin renard, un squale possĂ©dant une longue queue. PĂȘche rarissime ce matin sur les quais de Trouville-sur-Mer un requin de 4m – Un article paru dans le 14 mai 2010 Le Requin-renard commun reprĂ©sente peu de danger pour les humains, cette espĂšce ne s’approchant que rarement des cĂŽtes. Requin de 4 m – photo Tacaud Le tacaud vit dans les zones cĂŽtiĂšres de la Manche et de l’Atlantique, apprĂ©ciant les fonds rocheux et les fonds pierreux. Il appartient Ă  la famille des gadidĂ©s comme la morue et le merlan. Trisopterus luscus LinnĂ©, 1758Autres noms plouse, gode,Famille des GadidĂ©sZone gĂ©ographique Mer du Nord, Manche et Atlantique Les tacauds vivent en colonie Ă  proximitĂ© des Ă©paves et des roches couvertes d’algues et Ă  proximitĂ© du sable. Ils sont essentiellement actifs la nuit et sur le fond. Ils se nourrissent d’alevins, d’invertĂ©brĂ©s, de mollusques, de crustacĂ©s, voire de chair de tacaud se prĂ©sente sous la forme d’un losange avec 3 nageoires dorsales et se distingue par la prĂ©sence d’un long barbillon au poisson est d’une couleur brun clair, blanc sous les flancs. A remarquer qu’il peut ĂȘtre confondu avec le jeune merlan ou le lieu jaune. La taille commune avoisine les 15 Ă  30 cm et peut atteindre 45 cm pour 2 reproduction se situe au printemps, entre mars et avril, prĂšs des cĂŽtes. La femelle pond jusqu’à 400 000 Ɠufs, les jeunes tacauds vivent alors en bancs dans les zones portuaires oĂč ils trouvent une nourriture facile notamment autour des ports de pĂȘche. Sa taille de maturitĂ© sexuelle est de 25 poisson une fois adulte rejoint les Ă©paves et les zones rocheuses Ă  plus de 10 mĂštres de profondeur. Technique de pĂȘche Les tacauds se pĂȘchent au leurre, Ă  soutenir, au surfcasting, Ă  la ligne flottante exactement comme le merlan avec une ligne Ă  clipots hameçons numĂ©ro 2 Ă  4.On dit Ă©galement que c’est un pare bredouille. il mord Ă  tout, le ver et le morceau de poisson sont cependant les esches sur lesquelles il mord le mieux. Le seul ennui avec ce poisson est le vrillage des empiles qu’il rĂ©alise une fois piquĂ© et accrochĂ© Ă  l’hameçon. Le tacaud, surtout lorsqu’il est petit, tourne comme une arĂ©nicoles, gueulins de maquereau, crevettes crues ou cuites, de pĂȘche de mai Ă  octobreCuisine Chair moyenne, Ă  consommer trĂšs frais. Vider le poisson le plus tĂŽt possible. Tacaud – CitĂ© de la mer Dieppe, 2016 Le turbot commun Scophthalmus maximus LinnĂ©, 1758 Famille des ScophthalmidĂ©sZone gĂ©ographique Manche, Mer du Nord, MĂ©diterranĂ©e. Le turbot est un poisson plat gaucher il repose sur la face droite. Il pĂšse en moyenne 6 kg et peut atteindre les 25 kg pour une taille allant de 50 cm Ă  1 m. Il est carnivore et se nourrit de petits poissons, de crustacĂ©s et de mollusques. Turbot – Photographie prise Ă  l’aquarium de MarĂ©is – Étaples, Pas-de-Calais, 2010 Vieille Commune ou mĂ©rou breton Labrus bergylta Ascanius, 1767Autres noms carpe de mer, coquette, demoiselle, mĂ©rou bretonFamille des LabridĂ©sZone gĂ©ographique Atlantique, manche, Mer du Nord La vieille commune est prĂ©sente sur tout le littoral et aime les fonds rocheux. On dit que sa rĂ©gion de prĂ©dilection reste la vit en groupe et demeure commune dans les rochers, les herbiers et les rĂ©cifs avec au moins 20 m de profondeur. Elle trouve aussi son compte dans les poisson prĂ©sente une robe riche en couleurs vives. La bouche est garnie de dents coupantes et de dents pharyngiennes qui lui permettent de broyer les coquilles et les carapaces de vieille commune mesure entre 20 et 45 cm pour une taille maximale de 50 Ă  60 reproduction a lieu entre mai et juillet. Technique de pĂȘche PĂȘche Ă  la palangrotte, Ă  soutenir au dessus des Ă©paves, le long des roches le long de la moule, crabe, arĂ©nicole. Un montage Ă  potence, montĂ© en 30/100 et armĂ© d’un hameçon n°2, demeure une bonne base pour la vieille n’a pas une bonne rĂ©putation aussi est-elle peu recherchĂ©e car sa chair est molle, pleine d’ peut la pĂȘcher toute l’annĂ©e. Labrus bergylta Citron / La Petite Vive enfouie dans le sable Echiichthys vipera Cuvier, 1829Famille des TrachinidĂ©sZone gĂ©ographique Atlantique, Manche et mer du Nord La Petite Vive vit le long des plages isolĂ©es et Ă  de faibles profondeurs. Elle reste enfouie dans le sable pour surprendre ses est souvent responsable de blessures en saison chaude et son venin est assez dangereux pour l’homme, la manipuler avec prĂ©caution!La vive a un corps allongĂ© et comprimĂ© latĂ©ralement, sa bouche est fortement inclinĂ©e vers le haut et les yeux sont placĂ©s sur le dessus de la tĂȘte et mesure entre 15 et 25 centimĂštres. Petite vive Echiichthys vipera – Avec l’autorisation de Roberto Pillon – Technique de pĂȘche Elle se pĂȘche du bord au lancer-ramener avec un petit leurre type cuiller ou poisson-nageur. La rĂ©cupĂ©ration doit ĂȘtre trĂšs trĂšs lente, trĂšs tĂŽt le matin ou en fin de journĂ©e. L’attaque est brusque. Les morceaux de sardine donnent Ă©galement de bons rĂ©sultats. Les plus belles pĂȘches se font en aoĂ»t et petite vive se fait accidentellement prendre Ă  la ligne de surfcasting en Ă©tĂ© mais n’a aucun intĂ©rĂȘt pour la cuisine. Petite vive. – Leffrinckoucke, 2003 Petites vives capturĂ©es sur la digue du Braek, 2003 Notes – Les façades maritimes françaises La Façade maritime Atlantique – Manche – Mer du Nord – La Manche commence sur une ligne imaginaire reliant la pointe de Corsen Ă  Plouarzel FinistĂšre aux Iles Scilly en Cornouailles. Le passage en Mer du Nord se site entre Calais et façade maritime mĂ©diterranĂ©enne – Le domaine dĂ©marre de CerbĂšre dans le Roussillon Ă  l’ouest et se termine Ă  Menton. La Corse apporte Ă©galement sa variĂ©tĂ© de poissons. Cet article vous a plu ? N’hĂ©sitez pas Ă  le partager pour informer vos proches. Cet article a Ă©tĂ© modifiĂ© le 29 janvier 2019, publiĂ© initialement en 2006Il constitue un outil de documentation pour la pĂȘche de loisirs et n’engage pas la responsabilitĂ© du site.
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, le 15 septembre 2020 Temps de lecture 4 Depuis tout petit je suis attirĂ© par la mer et ses multiples richesses. Je pratique la pĂȘche de bord de mer de diffĂ©rentes façons 🙂 pĂȘche Ă  pied des coquillages coques, couteaux pĂȘche des vĂ©gĂ©taux marins salicornes, asters pĂȘche de la sautrelle » crevette grise Ă  l’aide de mon vieux pousseux filet Ă  crevette pĂȘche embarquĂ©e de maquereaux, merlan et parfois de vives
 Jusqu’alors, je ne m’étais jamais intĂ©ressĂ© Ă  la pĂȘche au surfcasting, du bord de plage. Cette pratique a beaucoup d’avantages elle ne nĂ©cessite pas de bateau, un matĂ©riel robuste mais peu onĂ©reux, peut se pratiquer toute l’annĂ©e mais attention tout de mĂȘme Ă  la rĂ©glementation en vigueur ! et permet d’attraper des poissons de choix soles, turbo et pourquoi pas
un bar Alors c’est dĂ©cidĂ©, je m’y mets ! 2 Ă©tapes incontournables avant de dĂ©buter s’équiper d’un minimum de matĂ©riel une canne dĂ©diĂ©e Ă  la pĂȘche en mer dans un premier temps une canne de 4,50m est suffisante et une puissance comprise entre 100g et 200g fera parfaitement l’affaire. des plombs grapins de 120 Ă  150g des bas de ligne avec hameçon 2,1 ou 0 dit poil Ă  balais » qui ont la particularitĂ© de ne pas s’emmĂȘler pour le dĂ©butant que je suis 😊 pour le confort, un porte canne ! trouver des appĂąts sur le littoral de la manche, l’appĂąt N°1 est l’arĂ©nicole il s’agit d’un trĂšs gros ver de vase il peut mesurer jusqu’à 20cm, dont raffolent les poisons et aussi les courlis cendrĂ©s ! s’équiper d’un petit louchet et rechercher sur la plage de Cayeux-sur-Mer les petits tortillons » preuve de leur prĂ©sence dans le sol 3h30 aprĂšs la pleine mer ou, aller Ă  la rencontre d’un pĂȘcheur Ă  pied sur la plage A la rechercher de vers Seul face au large Nous sommes le jour J, j’ai repĂ©rĂ© un jour de marĂ©e basse qui coĂŻncide avec le coucher de soleil. Je mets un maximum de chance de mon cĂŽtĂ©, il semblerait que les poissons soient plus actifs au lever ou au coucher du soleil. J’arrive sur la plage 2 heures avant la marĂ©e basse, comble de chance la mer est bien formĂ©e, ce qui incite les poissons, notamment les bars Ă  venir chercher leur nourriture lĂ  oĂč les vagues dĂ©ferlent. L’installation du matĂ©riel est rapide mais Ă  faire avec prĂ©caution il ne s’agit pas de se piquer les doigts sur l’un des hameçons du bas de ligne. Premier lancer, pas Ă©vident
je suis un peu court ! Je ramĂšne donc ma ligne et relance Ă  nouveau, ce qu’il faut Ă©viter de faire car les appĂąts sont trĂšs fragiles et supportent mal les trop nombreux mouvements. Cette fois, je fais mouche, je lance au beau milieu des vagues qui dĂ©ferlent, prĂ©cisĂ©ment lĂ  ou les poissons viennent se nourrir. Il n’y plus qu’à attendre, en surveillant le bout de la canne Ă  pĂȘche. Si elle se plie brusquement, c’est bon signe ! Au fur et Ă  mesure que la mer descend je l’accompagne, le tout avec un ballet incessant de petits Ă©chassiers, de goĂ©lands, de sternes et autres oiseaux du bord de mer, qui se confondent dans le soleil couchant
quel spectacle incroyable ! La pĂȘche au surfcasting Ă©tant interdite dans les zones de baignade, je me suis installĂ© au sud de Cayeux-sur-Mer au niveau de l’amer sud, cette petite tour situĂ© sur le cordon de galets et surmontĂ©e d’une croix mĂ©tallique il s’agit d’un HĂ©risson TchĂšque ou Tschechenigel qui devait empĂȘcher le dĂ©barquement des barges alliĂ©es sur les plages je suis seul au monde, Ă  cette heure-ci j’ai la plage pour moi tout seul. Le temps passe, cela fait maintenant 1h30 que la mer remonte, il fait bien sombre, et selon les conseils donnĂ©s par les pĂȘcheurs Ă  pied, je dĂ©cide de remballer le matĂ©riel et m’avoue vaincu je suis bredouille, mais quelle bouffĂ©e d’oxygĂšne ! Ce n’est pas grave, je retenterai ma chance dans quelques temps. Moi qui adore le poisson, Ă  dĂ©faut de pĂȘche miraculeuse, j’irai peut-ĂȘtre m’approvisionner dans l’une des poissonneries locales. crĂ©dit photo slider Nicolas-Bryant Filetsde pĂȘche en mer Il y a 11 produits. Afficher : Grille Liste Tri -- Comparer ( 0) RĂ©sultats 1 - 11 sur 11. TrĂ©mail 50 x 1.50m € 188.05 DĂ©tails Ajouter Ă  mes favoris Ajouter au comparateur TrĂ©mail 50 x 2m € 221.11 DĂ©tails Ajouter Ă  mes Voulez vous acheter un filet de pĂȘche de dĂ©coration ? L'Ă©quipe de Stylemarin vous propose des filets de pĂȘche dĂ©coratifs de diffĂ©rentes tailles et couleurs avec ou sans flotteurs liĂšge. Pour donner une ambiance bord de mer Ă  votre intĂ©rieur, accrocher des photos, des coquillages, faire un hamac pour les peluches des enfants, le filet de pĂȘche dĂ©co est un incontournable ! ENSTOCK : Filet lumineux pas cher. Grand choix, promos permanentes et livraison rapide partout en France. Paiement sĂ©curisĂ© . Offre exclusive App: Jusqu'Ă  80€ de remise et livraison offerte ! Voir conditions. Qui sommes-nous. Bonjour Identifiez-vous. Je suis un particulier AccĂ©der Ă  mon compte; Je suis un Pro AccĂ©der aux prix Pro; Menu. Qui sommes-nous; Produits; Jardin 2. LES PÊCHERIES ET LEURS CAPTURES Continued Atlantique et MĂ©diterranĂ©e Les pĂȘcheries industrielles en Atlantique et en MĂ©diterranĂ©e Les seules grandes pĂȘcheries pĂ©lagiques aux filets dĂ©rivants dans l'Atlantique et la MĂ©diterranĂ©e qui ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es sont la pĂȘcherie italience Ă  l'espadon rĂ©cemment terminĂ©e et la pĂȘcherie francaise au germon. Toutefois, la persistance de certains indices permet de penser que des bateaux taĂŻwanais utilisent des filets dĂ©rivants dans certaines rĂ©gions. En ce qui concerne l'Atlantique Sud, la pĂȘche au filet dĂ©rivant est illĂ©gale dans les eaux sud-africaines, mais en 1990, 166 bateaux de TaĂŻwan Province de Chine, de CorĂ©e et du Japon ont sollicitĂ© et obtenu des permis pour entrer dans les ports sud-africains avec des filets maillants Ă  bord. Sept autres bateaux sont entrĂ©s illĂ©galement dans les eaux sudafricaines avec des filets maillants. L'un d'eux s'est Ă©chouĂ© et avait des pingouins et des phoques dans ses cales rĂ©frigĂ©rĂ©es, et plus de 100 km de filets dĂ©rivants rangĂ©s Ă  bord. Un autre transportait des filets dĂ©rivants et des pingouins qui ont Ă©tĂ© dĂ©couverts lors d'une mise en bassin pour rĂ©paration au Cap. Un troisiĂšme bateau corĂ©en a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© pour utilisation de filets dĂ©rivants dans les eaux territoriales sud-africaines. Ces incidents ont Ă©tĂ© Ă  l'Ă©poque relatĂ©s dans la presse locale. Le fait qu'un grand nombre de bateaux principalement taĂŻwanais se trouvaient dans les eaux sud-africaines avec des filets dĂ©rivants Ă  bord, et deux d'entre eux avec des pingouins dans leurs cales rĂ©frigĂ©rĂ©es, ne signifie pas nĂ©cessairement qu'ils pĂȘchaient au filet dĂ©rivant dans l'Atlantique Sud-Est. Les documents prĂ©sentĂ©s Ă  la Consultation d'experts sur le thon de l'IPTP en juillet 1990 indique que Le Cap Ă©tait parmi les ports utilisĂ©s par les bateaux pĂȘchant le thon dans l'ocĂ©an Indien. On sait que la pĂȘche au filet dĂ©rivant s'effectue dans les eaux du sud de l'ocĂ©an Indien Ă  l'est de l'Afrique du Sud, d'oĂč Le Cap est le port plus proche. Cependant, plusieurs des bateaux embarquent des matelots sud-africains et signalent qu'ils vont capturer le calmar aux Malouines seuls 4 des 166 bateaux ont des licences pour capturer le calmar aux Malouines J. Barton comm. pers., mais il y a aussi une pĂȘcherie au calmar Ă  l'extĂ©rieur de la zone de pĂȘche cotiĂšre des Ăźles Malouines. Un matelot sud-africain a racontĂ© qu'en fait, aprĂšs avoir quittĂ© Le Cap, ils ont naviguĂ© durant une semaine au sud-ouest vers les Malouines pour capturer le calmar, mais qu'ils s'Ă©taient arrĂȘtĂ©s durant un mois pour pĂȘcher le thon au filet dĂ©rivant prĂšs d'une ile montagneuse qui pouvait ĂȘtre vue du pont. Le transbordement du thon a eu lieu en mer, oĂč environ 100 autres bateaux pĂȘchaient. Un bateau de recherche sud-africain s'est trouvĂ© parmi cinq bateaux de pĂȘche Ă  proximitĂ© de Tristan de Cunha et ses hĂ©lices se sont prises dans un filet dĂ©rivant. On a pu voir des pingouins morts dans les eaux proches des bateaux de pĂȘche. Le matelot a indiquĂ© qu'outre des thons, les filets dĂ©rivants ont attrapĂ© aussi “beaucoup” de pingouins, 15–20 dauphins, 3–4 petites baleines, poissons-lune et des “tas” de requins et autres poissons pendant le mois de pĂȘche. Les quelques donnĂ©es dont on dispose sur la pĂȘcherie, qui se pratique, en partie du moins, dans la ZEE de 200 milles de Tristan de Cunha, sont rĂ©sumĂ©es par Ryan et Cooper sous presse. Une seconde controverse a Ă©clatĂ© en aoĂ»t 1990, quand deux bateaux taĂŻwanais, le Her Sheng et le Her Hsing ont Ă©tĂ© photographiĂ©s dans le port de port of Spain, Ă  Trinidad, avec des filets dĂ©rivants entassĂ©s sur leur pont arriĂšre. Les photographies ont Ă©tĂ© publiĂ©es dans les journaux locaux et amĂ©ricains. La prĂ©sence d'une quinzaine de ces bateaux a Ă©tĂ© signalĂ©e. La compagnie taĂŻwanaise de pĂȘche impliquĂ©e a dĂ©menti avoir utilisĂ© des filets dĂ©rivants pour capturer les thons dans les environs, mais a prĂ©tendu que les filets Ă©taient destinĂ©s Ă  la capture du calmar The Trinidad Guardian Plusieurs espĂšces d'encornets volants sont connues en Atlantique, y compris des Ommastrephes bartrami, mais jusqu'Ă  prĂ©sent aucune capture de calmar au filet dĂ©rivant n'a Ă©tĂ© signalĂ©e. Les pĂȘcheurs espagnols ont relatĂ© avoir rencontrĂ© des bateaux taĂŻwanais pĂȘchant au filet dĂ©rivant dans l'Atlantique, et ont coupĂ© leurs engins de pĂȘche. Trois bateaux taĂŻwanais utilisant les filets dĂ©rivants ont Ă©tĂ© observĂ©s en train de transborder leurs captures dans les Acores en aoĂ»t 1990. Ils avaient Ă  l'origine Ă©tĂ© grĂ©Ă©s pour la pĂȘche au calmar on a su qu'au moins l'un d'entre eux avait effectuĂ© ce type de pĂȘche dans l'Atlantique Sud. Ces bateaux Ă©taient freĂ©uemment Ă©quipĂ©s de filerts dĂ©rivants pour la capture du thon. L'Ă©quipage d'un bateau a indiquĂ© qu'il y avait au total 21 bateaux de ce type pĂȘchant au filet dĂ©rivant dans l'Atlantique Nord, qu'ils Ă©taient harcelĂ©s par des pĂȘcheurs espagnols, et qu'ils prenaient souvent dans leurs mailles des cĂ©tacĂ©s et des dauphins J. Gordon comm. pers.. La pĂȘcherie francaise au germon a dĂ©marrĂ© expĂ©rimentalement en 1986 pour accroĂźtre les captures des flottes francaises qui pĂȘchent ce type de thon Ă  la traine; les ligneurs utilisent les filets dĂ©rivants la nuit et pĂȘchent Ă  la traĂźne le jour. La pĂȘche s'exerce de juin Ă  fin septembre, principalement Ă  l'extĂ©rieur des 200 milles, dans le golfe de Gascogne. La pĂȘche dĂ©marre en juin prĂšs des Acores et suit les bancs de germons dans leurs dĂ©placements vers le nord et l'est. Le nombre de ligneurs dĂ©ployant des filets dĂ©rivants est passĂ© de 16 en 1988 Ă  37 en 1989. Les captures par filets maillants se sont Ă©elĂ©ves Ă  quelque 750 tonnes mĂ©triques en 1988, chiffre qui peut ĂȘtre rapprochĂ© du total des captures par tous types d'engins du stock de germon de l'Atlantique Nord, 60 300 tonnes en 1988. Les captures totales de germon ont dĂ©clinĂ© ces derniĂšres annĂ©es, par suite d'une rĂ©duction de l'effort, tandis que les indices de prise par unitĂ© d'effort ont fait apparaĂźtre une tendance Ă  l'accroissement pour les flottes utilisant l'appĂąt vivant, et aucune tendance pour les flottes de ligneurs CICTA 1990. Plusieurs tailles de mailles allant de 80–120 mm, ont Ă©tĂ© employĂ©es dans cette pĂȘcherie au filet maillant, les mailes d'environ 90 mm produisant les meilleurs rĂ©sultats. Les nappes de filets d'environ 50 m de long et de 20 Ă  36 m de profondeur sont employĂ©es avec un rapport d' armement E1 de 0,6. Les filets ont une longueur totale comprise entre 2 500 et 6 000m, bien que le Sirius, le bateau de Greenpeace, ait signalĂ© avoir observĂ©des filets des 20 km dans cette pĂȘcherie. Des observateurs français suivant les opĂ©rations de pĂȘche au filet dĂ©rivant, effectuĂ©es en 1989, ont signalĂ© que 90, 5 pour cent des prises Ă©taient du germon, 3, 5 pour cent du thon rouge, et les 6 pour cent restants Ă©taient constituĂ©s d'espadons et de requins. Huit parmi les 130–150 marĂ©es ont Ă©tĂ© observĂ©es et deux petits cĂ©tacĂ©s non identifiĂ©s ont Ă©tĂ© capturĂ©s durant cette pĂ©riode. Les observations de Greenpeace comprenaient 84 germons, 10 requins bleus, deux castagnoles et un dauphin commun dans lest sections de filets examinĂ©s par le Sirius. Les obnservations de 1990 ont inclus Ă  la fois des dauphins communs et des dauphins bleus et blancs; des captures totales de plus de 400 dauphins Ă  des niveaux courants d'effort de pĂȘche ont Ă©tĂ© suggĂ©rĂ©es Antoine 1990. La pĂȘche italienne au filet dĂ©rivant pour la capture de l'espadon a Ă©tĂ© interdite en 1990, et a redĂ©marrĂ© du moins temporairement en 1991, aprĂšs de nombreux litiges, mais avec des restrictions sur la longueur de nappe autorisĂ©e par bateau. Jusqu' au dĂ©but de l' Ă©tĂ© 1990, elle a Ă©tĂ© l'une des principales pĂȘcheries mondiales aux filets dĂ©rivants. Les filets dĂ©rivants pour le thon et l'espadon sont utilisĂ©s en MĂ©ditĂ©ranĂ©e depuis l'Ă©poque classique Di Natale 1990a, mais leur usage s'est rapidement gĂ©nĂ©ralisĂ© dans les annĂ©es 80, du fait de la politique du gouvernment qui a encouragĂ© les pĂȘcheurs italiens Ă  utiliser les filets dĂ©rivants, considĂ©rĂ©s comme plus sĂ©lectifs que d'autres types d'engins. Le dĂ©veloppement de la flotte, jusqu'Ă  plus de 700 bateaux en 1989, s'est accompagnĂ© d'une extension de sa zone d'action, “loin des eaux de Sicile et de Calabre au sud, Ă  la mer ligurienne au nord”. Environ 90 pour cent de la flotte employait des filets de 12–13 km de long, et d'environ 28–32 m de hauteur. Des mailles de 180 Ă  400 mm ont Ă©tĂ© employĂ©es pour la capture du germon et de l'espadon. Certains bateaux de la flotte utilisaient au plus 6 km de longueur de filet, tandis que quelques-uns mouillaient 20 km ou davantage. Les captures d'espadon dans les filets maillants pour les Italiens sont passĂ©es de 1300 tonnes en 1984 Ă  1 650 tonnes en 1988. L'impact de la pĂȘcherie sur le stock n'est toutefois par trĂšs clair du fait d'une sĂ©rie inadĂ©quate de prises par unitĂ© d'effort de pĂȘche et du manque d'estimations fiables concernant l'Ăąge des poissons. NĂ©anmoins, la longueur moyenne des espadons dĂ©barquĂ©s dans les ports du sud de l'Italie a dĂ©clinĂ© de 136 cm en 1985 Ă  124 en 1989 Di Natale 1990a. La classe de taille modale est de 115 cm, tous types d'engins confondus en comparaison de tailles modales de 170 cm dans les pĂȘcheries Ă  la palangre dans d'autres rĂ©gions du monde palko et al. 1981. Un grand nombre d'espĂšces non recherchĂ©es a Ă©tĂ© enregistrĂ© dans les pĂȘcheries au filet dĂ©rivant de MĂ©diterrannĂ©e. Le Tableau 31 donne la liste des espĂšces de poissions identifiĂ©es jusqu'ici Di Natale comm. pers.. Au moins 44 espĂšces de poisson non recherchĂ©es ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es, mais les taux de capture sont inconnus. En plus de ces prises, des tortues et des mammifĂšres marins ont Ă©tĂ© capturĂ©s. Les captures de mammifĂšres marins enregistrĂ©es dans cette pĂȘcherie portent sur une pĂ©riode suffisamment longue. Harmer 1917 a notĂ© la capture de cachalots dans des “filets Ă  thons” Ă  Lipari en 1902, tandis que des donnĂ©es supplĂ©mentaires ont Ă©tĂ© fournies par Duguy et al. 1983 et Di Natale et Mangano 1983 revu dans Northridge en 1984. Ces derniĂšres annĂ©es, un nombre croissant de cĂ©tacĂ©s a Ă©tĂ© pris dans les filets. Tout d'abord, les Ă©chouages de cĂ©tacĂ©s se sont multipliĂ©s dans la mer ligurienne. Cette proportion croissante de cĂ©tacĂ©s Ă©chouĂ©s pourrait laisser supposer l'emmĂȘlement dans une nappe fragments de filets, cicatrices, absence de queue. Les tendances sont rappelĂ©es par Notarbartolo di Sciara 1990. Les espĂšces en cause Ă©taient des cachalots 23 sur 131, soit 17,5 pour cent des animaux emmĂȘlĂ©s, des ziphius 1,5 pour cent, des globicĂ©phales 6 pour cent, des dauphins de Risso 3 pour cent, des grands dauphins 8,4 pour cent, des dauphins blancs et bleus 44 pour cent. Il est clair que ces animaux ne reprĂ©sentent qu'une petite fraction du total des emmĂȘlements observĂ©s se fondant sur des entretiens personnels avec des pĂȘcheurs engagĂ©s dans la pĂȘcherie, Di Natale 1989 suppose que 3 000 Ă  5 000 cĂ©tacĂ©s environ auraient pu ĂȘtre capturĂ©s. La proportion assez Ă©levĂ©e de cachalots parmi les emmĂȘlements enregistrĂ©s vaut d'ĂȘtre signalĂ©e. Les cachalots, peut-ĂȘtre du fait de leur taille et de leurs habitudes alimentaires ce sont des plongeurs profonds, sont rarement rĂ©pertoriĂ©s dans les filets, si bien que la pĂȘcherie de MĂ©diterranĂ©e fait figure d'exception Ă  cet Ă©gard. Des captures de tortues luth et de tortues carettes ont aussi Ă©tĂ© enregistrĂ©es dans cette pĂȘcherie, mais les taux de capture des tortues, comme des cĂ©tacĂ©s, ne sont pas disponibles. La pĂȘcherie italienne a Ă©tĂ© interrompue en juillet 1990, aprĂšs son interdiction par le Gouvernment italien. Les autres pĂȘcheries au filet dĂ©rivant en Atlantique et en MĂ©diterranĂ©e Outre la pĂȘcherie italienne aux filets dĂ©rivants, il y a des pĂȘcheries beaucoup plus modestes dans plusieurs autres pays mĂ©diterranĂ©ens. Elles ont Ă©tĂ© passĂ©es en revue lors d'une rĂ©cente Consultation d'experts du GFCM/CICTA, Ă  Bari en juin 1990, consacrĂ©e Ă  l'Ă©valuation des stocks des pĂȘcheries de grands pĂ©lagiques dans la zone mĂ©diterranĂ©enne. En AlgĂ©rie, un filet dĂ©rivant de 3 km de long est maintenant expĂ©rimentĂ© au large des cĂŽtes occidentales du pays, et jusqu'ici aucun emmĂȘlement de mammifĂšre marin n'a Ă©tĂ© enregistrĂ©. Au Maroc, une flotte de 30 Ă  40 bateaux artisanaux pĂȘche des petits thons avec des filets dĂ©rivants de 3 Ă  4 km de long. Aucune information sur des emmĂȘlements d'espĂšces non recherchĂ©es n'est disponible GFCM/CICTA, 1990. TABLEAU 31 Calmars et poissons capturĂ©s dans des filets dĂ©rivants en MĂ©diterranĂ©e Principales espĂšces recherchĂ©es/EspĂ©ces capturees frĂ©quemment EspadonXiphias gladius GermonThomus alalunga Autres espĂšces communĂ©ment attrapĂ©es Requin renardAlopias Vulpinus Requin bleuPrionace glauca TaupeLamma nasus Raie MantaMobular mobular MourineMolobatis aquila Grande CastagnoleBrama brama Poisson empereurLuvaris imperialis Poisson luneMola mola Thon rougeThomus thymas BoinitouAaxis rocheri EspĂšces peu communes PĂ©lerinCethorhinas maximus Requin touilleIsurus oxyrhhinchus Requin marteau lisseSphyrna zygaena Poisson huileRuvettus pretiosus Daurade coryphĂšneCorryphaean hippurus EspĂšces occasionnelles Requin renard aux gros yeuxAlopias superciliusus Requin tisserandCarcharhinus brevipinna Requin Ă  long museau et Ă  pointers noiresCarcharhinus limbatus Requin sombreCarcharhinus obscurus CernierPoliprion americannum Poisson piloteNaucratus ductor Rouffe impĂ©rialSchedophilis ovalis RemoraRemora spp. Bonite Ă  dos rayĂ©Sarda sarda Maquereau espagnolScomber japonicus Requin d'estuaireCarcharhinus plumbeus Grand requin blaneCarcharodon carcharias Requin Ă  sept branchiesHeptranchias perlo Requin taureauEugomphodus taurus Requin de sable cĂŽtierOdontaspis ferox Requin marteauSphyrna sp. Requin HĂąGaleorhinus galeus MourinePieromylaeus bovinus Grande CarangueCaranx hippos Liche amieLichia amia CaranguePseudocaranx dentex SĂ©riole ambrĂ©eSeriola dumerilli CoryphĂšne dauphinCoryphena equiselis Makaire blaneTetrapterus albidus LamprisLampris guttatus Poisson luneRanzania lacvis EncornetTodarodes sugittatus EncornetsOmmastrephes sp. Quelques moins de 10 bateaux artisanaux basĂ©s en Corse utiliseraient le filet dĂ©rivant; en GrĂšce, un bateau aurait commencĂ© rĂ©cemment Ă  se servir d'un engin dĂ©rivant de 10 km, auquel s'ajoutent 13 unitĂ©s plus petites employant 3 km de filets dans la mĂȘme zone. AprĂšs examen des donnĂ©es concernant des bateaux de pĂȘche et des engins utilisĂ©s en MĂ©diterranĂ©e, Dremiere et NĂ©delec 1977 dĂ©crivent un filet dĂ©rivant tramail, roumain, mais aucune information sur son usage n'est fournie. Ils font aussit Ă©tat d'un filet dĂ©rivant turc aux sardines de 365 m de long, 33 Ă  36,50 m de hauteur et une maille de 32 mm. Le nombre de bateaux employant cet engin n'est pas connu. Des bateaux artisanaux moins nombreux utilisent ce type d'engins dans les eaux italiennes Di Natale, 1990b, et sans aucune doute ailleurs en MĂ©diterranĂ©e. Deux bateaux français se serviraient de filets dĂ©rivants d'environ 3 km de long pour le thon dans le golfe du Lion, au sud de la France. Jusqu'Ă  70 bateaux espagnols pourraient aussi utiliser des filets dĂ©rivants pour capturer le thon au sud de l'Espagne, aux environs du dĂ©troit de Gibraltar et notamment dans les eaux atlantiques marocaines Serna et Alot 1990. Des filets de 1,5 Ă  3,5 km seraient utilisĂ©s mais aucune capture de mammifĂšre marin n'a Ă©tĂ© enregistrĂ©e jusqu'Ă  juin 1990, bien que des observateurs espagnols aient enregistrĂ© et relachĂ© trois tortues. On ne dispose que de peu d'informations sur les pĂȘcheries au filet dĂ©rivant de la cĂŽte ouest africaine. Les engins de ce type ne sont apparemment pas utilisĂ©s en Mauritanie Josse 1989. Dans plusieurs des autres pays de l'ouest africain Sierra Leone, cĂŽte d'Ivoire, Ghana, l.'usage de filets maillants encerclants est largement rĂ©pandu R. Basimi, comm. pers., COPACE 1989. Des filets maillants dĂ©rivants sont en grand nombre au Ghana et au NigĂ©ria au moins. Doyi 1984 dĂ©crit les types de filets dĂ©rivants utilisĂ©s dans la rĂ©gion. Les filets ont de 180 Ă  650 m de long, de 2,5 Ă  50m de hauteur. Les tailles de maille varient de 45 mm Ă  200 mm. Le nombre des filets dĂ©rivants dĂ©ployĂ©s dans l'ouest africain n'est pas connu, mais d'aprĂšs les estimations du COPACE, environ 40 000 unitĂ©s de pĂȘche artisanale travaillent dans les eaux cĂŽtiĂšres de l'Afrique de l'Ouest, de la Mauritanie au Congo Lawson et Robinson 1983. Maigret 1990 fait Ă©tat de l'introduction depuis 1983 d'une nouvelle pĂȘcherie aux filets dĂ©rivants pour les thons, les espadons et les requins en CĂŽte d'Ivoire et au Ghana. Il y a environ 30 pirogues qui effectuent chaque annĂ©e environ 1 500 marĂ©es au total Ă  partir de deux ports. Des dauphins sont semble-t-il capturĂ©s “rĂ©guliĂšrement”. De telles captures sont illĂ©gales et ne sont pas enregistrĂ©es officiellement. Les statistiques sur les pĂȘcheries ghanĂ©ennes au filet dĂ©rivant sont limitĂ©es. D'aprĂšs les statistiques de la CICTA, les captures du Ghana enregistrĂ©es en 1988 se sont Ă©levĂ©es Ă  quelque 1 193 tonnes de thons aux gros yeux, de marlins et d'espadons par filet maillant. Maigret 1990 cite une pĂȘcherie artisanale pĂ©lagique bien dĂ©veloppĂ©e de quelque 8 000 pirogues, mais la proportion utilisant des filets dĂ©rivants n'a pas Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©e. Maigret note Ă©galement l'usage de filets dĂ©rivants au thon par un nombre non. spĂ©cifiĂ© de 1 500 bateaux artisanaux opĂ©rant de Sao TomĂ©-et-Principe. On n'est pas beaucoup plus documentĂ© sur les pĂȘcheries cĂŽtiĂšres au filet dĂšrivant de l'Europe at lantique. Dans le sud de l'Europe, on pratique la pĂȘche cĂŽtiĂšre aux filets dĂ©rivants Ă  l'anchois et Ă  la sardine, et dans le nord de l'Europe les filets dĂ©rivants sont utilisĂ©s pour le saumon. Au Portugal plus de 11 000 bateaux sont autorisĂ©s Ă  se servir des filets maillants, mais ces derniers sont la plupart du temps des engins fixes; des filets dĂ©rivants sont utilisĂ©s pour capturer Ă  la fois des petits et des grands poissons pĂ©lagiques Sequeira et Ferreira 1990. L'Irlance apporte son soutien Ă  l'une des plus grandes pĂȘcheries au filet dĂ©rivant du nord et de l'ouest de l'Europe. Il y a une pĂȘcherie aux saumons, en grande partie illĂ©gale. Environ 900 licences ont Ă©tĂ© dĂ©livrĂ©es en 1988 pour la pĂȘche aux saumons aux filets dĂ©rivants dans les eaux cĂŽtiĂšres irlandaises Moriarty comm. pers.. On sait pertinement qu'en Irlande, la pĂȘche aux filets dĂ©rivants pour le saumon, spĂ©cialement la nuit, est une des principales occupations dans certains districts, et il est clair que le nombre actuel de bateaux utilisant les filets dĂ©rivants est plus Ă©levĂ© que ne le laissent supposer les 900 licences accordĂ©es. La longueur totale de nappe dĂ©ployĂ©e n'est pas connue. On sait que plusieurs espĂšces de petits cĂ©tacĂ©s, notamment des dauphins communs et des dauphins de ThĂ©tis et des marsouins communs, s'emmĂȘlent dans ces filets. La pĂȘche au filet dĂ©rivant pour le saumon se pratique Ă©galement sous licence en Angleterre et au Pays de Galles, mais pas en Ecosse. La zone la plus importante se situe dans le nord-est de l'Angleterre oĂč un peu plus de 100 licences sont accordĂ©es annuellement pour l'usage du filet dĂ©rivant pour la capture du saumon entre avril et septembre. Des marsouins communs sont rĂ©guliĂšrement capturĂ©s lors de ce type de pĂȘche qui s'effectue Ă  environ 4 milles du rivage avec des filets de 400 ou 600 m et une taille de maille d'environ 120 mm. Les taux d'emmĂȘlement sont seulement connus de maniĂšre approximative et semble se situer aux environs de 6 marsouins par bateau et par an; la plupart de ceux-ci sont relachĂ©s vivants car les filets doivent, en vertu de la lĂ©gislation, faire l'object d'une surveillance permanente et la pĂȘche n'est autorisĂ©e que de jour Northridge 1988. Une pĂȘcherie aux filets dĂ©rivants axĂ©e sur les saumon a Ă©tĂ© rĂ©cemment fermĂ©e aprĂšs la rĂ©vĂ©lation d'importantes captures de marsouins communs. En deux mois, 580 pĂȘcheurs licenciĂ©s ont, en 1988, capturĂ© et rĂ©pertoriĂ© 96 marsouins communs. Bien que la pĂȘcherie au filet dĂ©rivant soit maintenant interdite, il y aurait encore une pĂȘche au filet dĂ©rivant dans le nord de la mer du Nord et dans le Skagerrak A. Bjorge comm. pers., mais les enquĂȘtes sur cette pĂȘche se sont rĂ©vĂ©lĂ©es infructueuses. Les pĂȘcheries au filet dĂ©rivant, principalement de saumon mais aussi de hareng et maquereau, se pratiquent dans la Baltique et le Kattegat. Des bateaux danois, suĂ©dois, allemands, polonais, finlandais et soviĂ©tiques y participent. La pĂȘche de saumons de la Baltique est rĂ©glementĂ©e par la Commission internationale de la pĂȘcherie de la mer Baltique, qui a instaurĂ© des quotas de capture et une fermeture annuelle du 15 juin au 15 september dans la pĂȘcherie aux filets dĂ©rivants. Les filets auraient jusqu'Ă  21 km de long, et une taille de maille de 160 mm. Les captures annuelles de saumon ont Ă©tĂ© en moyenne de 3 673 tonnes dans les cing derniĂšres annĂ©es et un TAC de 3 750 a Ă©tĂ© fixĂ© en 1991. Environ 75 pour cent des captures totales s'effectuent dans les pĂȘcheries du large et environ 80 pour cent de ces prises hauturiĂ©res sont rĂ©alisĂ©s au filet dĂ©rivant. Une proportion non connue de captures cĂŽtiĂšres est aussi rĂ©alisĂ©e par ce type d'engin. Les captures actuelles ont atteint des niveaux tels qu'elles risquent de compromettre l'avenir des stocks sauvages de saumons ICES 1990. Une grande variĂ©tĂ© de poissons, y compris la morue Gadus morhua, le hareng Clupea harengus, la plie Pleuronectes platessa, le flet Plactichthys flesus, le turbot Psetta maxima, le lompe Cyclopterus lumpus, l'orphie Belone belone et le maquereau Scomber scombrus se trouverait parmi les captures de cette pĂȘcherie. Des oiseaux, y compris des guillemots Uria aalge, pingouins torda Alca torda, eiders Somateria mollissima et des plongeons Glavia sp. ont Ă©tĂ© notĂ©s ainsi que des marsouins Phocoana phocoena Christensen et Larsson 1979. On ne dispose pas d'estimations sur les taux de capture de ces espĂšces. Une pĂȘcherie amĂ©ricaine, qui s'est rĂ©cemment dĂ©veloppĂ©e dans l'Atlantique du Nord-Ouest, utilise des filets maillants pour la capture de l'espadon. Quelque 15 bateaux auraient pris part Ă  cette activitĂ© en 1989 et 30 en 1990. La pĂȘcherie s'exerce le long de l'accore du plateau continental nord amĂ©ricain, principalement au large de la cĂŽte de Nouvelle-Angleterre. Environ 1,5 mille environ km de nappes sont dĂ©ployĂ©es par chaque bateau et une dimension de maille d'environ 20 pouces 500 mm est utilisĂ©e T. Smith, comm. pers.. Les filets sont installĂ©s de façon lĂąche afin que les poissons puissent aussi bien ĂȘtre emmĂȘlĂ©s que pris par les ouĂŻes. Une brĂšve inspection de 5,6 km de nappe par Greenpeace en 1989 a rĂ©vĂ©lĂ© la prise de 26 espandons, 2 thons gros yeux et 4 dauphins. Read 1990 a prĂ©sentĂ© un tableau de capture de cĂ©tacĂ©s par cette pĂȘcherie, dont il ressort que les dauphins communs sont les espĂšces les plus frĂ©quentĂ©es 39 pour cent, suivis par les grands dauphins et les dauphins de Risso 15 et 14 pour cent. Des mĂ©soplodons et des globicĂ©phales noirs ont Ă©galement Ă©tĂ© capturĂ©s 12 et 20 pour cent, aussi bien que des dauphins tachetĂ©s et des dauphins de ThĂ©tis. Une pĂȘche aux filets maillants pour les saumons existe Ă  l'ouest du Groenland depuis 1959, mais ce n'est qu'en 1965 que les premiers pĂȘcheurs des FĂ©orĂ© et de NorvĂšge, et plus tard ceux du Danemark et du Groenland, ont commencĂ© la pĂȘche au filet dĂ©rivant au large, jusqu'Ă  40 milles 73 km des cĂŽtes. Les filets sont en monofilament de nylon, bien que le multifilament soit Ă©galement employĂ© avec une maille de 140 mm. Ils sont utilisĂ©s dans des tĂ©sures qui peuvent atteindre 100 m de long, chaque nappe ayant environ 25–30 m de long, et 5 m de hauteur. La pĂȘcherie est rĂ©glementĂ©e par un TAC et est contrĂŽlĂ©e au dĂ©but et Ă  la fin de la saison Lear et Christensen 1975, ICES 1988. En 1987, la pĂȘcherie a Ă©tĂ© ouverte le 25 aoĂ»t et s'est achevĂ©e le 7 octobre. Le TAC s'est Ă©levĂ© Ă  935 tonnes mĂ©triques et une capture nominale de 966 tonnes a Ă©tĂ© enregistrĂ©e, soit un chiffre lĂ©gĂšrement supĂ©rieur Ă  celui de l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente, et considĂ©rablement plus Ă©levĂ© que les faibles captures 297 tonnes de 1984. Un maximum de 2 689 tonnes a Ă©tĂ© enregistrĂ© en 1971, mais de 1972 Ă  1975, les bateaux non groenlandais ont Ă©tĂ© Ă©liminĂ©s progressivement de la pĂȘcherie, et tant les captures que les TAC ont chutĂ© jusqu'au milieu des annĂ©es 80. Le TAC comprend deux composantes, un quota libre pour tous les pĂȘcheurs avec une licence, et un quota pour les petits bateaux, valable uniquement pour les embarcations d'une longueur infĂ©rieure Ă  30 pieds 9 m ICES 1988. On a pu observer en 1987 que la pĂȘche est surtout pratiquĂ©e par de petits bateaux et est concentrĂ©e dans les eaux littorales. Les petits bateaux emploient seulement 40 filets en moyenne, tandis que les plus gros bateaux en utilisent en moyenne 99. Les filets sont surveillĂ©s lorsqu'ils sont dans l'eau et, dans la plupart des cas, sont remis en ordre avant d'ĂȘtre halĂ©s. Jusqu'Ă  350 bateaux peuvent participer Ă  cette pĂȘcherie ICES 1988. Les captures annexes comprennent des petits cĂ©tacĂ©s et des oiseaux de mer. Lear et Christensen 1975 ont examinĂ© les prises de marsouins communs dans les bateaux non groenlandais en 1972. Ils ont estimĂ© qu'environ 1 500 marsouins ont Ă©tĂ© pris dans cette partie de la pĂȘcherie, et ils pensent que les taux de capture sont probablement plus Ă©levĂ©s dans les secteurs non groenlandais de cette pĂȘcherie, qui s'exerce plus loin au large, que dans le secteur groenlandais. Les taux de capture se sont accrus en termes de prises d'animaux par 100 milles/heure de filets classĂ©es de 0 Ă  21, avec des variations considĂ©rables selon les zones et les semaines de pĂȘche. Les captures pour 100 nappes installĂ©es ont avoisinĂ© 0,29 au total qui, si on suppose une longueur de 33 m “la majoritĂ© est de loin de 33 m environ”, correspondent Ă  un taux de 88 pour 1 000 km de nappes isntallĂ©es. La pĂȘcherie Ă©trangĂšre est maintenant fermĂ©e, mais la pĂȘcherie groenlandaise continue de capturer des marsouins. Il est difficile d'estimer les taux de capture dans cette pĂȘcherie, car les marsouins sont Ă  certains Ă©gards considĂ©rĂ©s comme une source de nourriture, et peuvent aussi ĂȘtre abattus C. Kinze comm. pers.. Lear et Christensen 1975 mentionnent aussi deux cĂ©tacĂ©s, dont un globicĂ©phale, qui ont Ă©tĂ© capturĂ© pendant leur mission d'observation; il ne fait aucun doute que des cĂ©tacĂ©s continuent d'ĂȘtre capturĂ©s, mais probablement Ă  un faible taux. Des oiseaux sont Ă©galement capturĂ©s, notamment le guillemot de Brunnich Uria lomvia qui Ă©tait Ă  un moment considĂ©rablement menacĂ© par cette pĂȘcherie Tull et al. 1972. Les autres espĂšces concernĂ©es sont les pingouins torda Alca torda, les petits pingouins Alle alle, les guillemots noirs Cepphus grylle et les puffins atlantiques Fratercula artica. Les captures totales qui, pendant les annĂ©s 1976–1980 ont Ă©tĂ© Ă©valuĂ©es aux environs de 50 000 Ă  100 000, sont beaucoup moins que dans les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes aprĂšs la fermeture de la pĂȘcherie Ă©trangĂšre au large Evans, 1984. Au Canada, le filet maillant Ă  saumon n'est plus dĂ©sormais utilisĂ© que comme engin fixe Read 1990. Sur le reste de la cĂŽte est de l'AmĂ©rique du Nord, il existe plusieurs pĂȘcheries artisanales aux filets dĂ©rivants pour la capture d'espĂšces comme les aloses, certains d'entre eux Ă©tant connus pour emmĂȘler un petit nombre de mammifĂšres marins aussi bien que des tortues et des oiseaux O'Hara et al. 1986. Les pĂȘcheries au filet maillant dĂ©rivant dans le Delaware ciblent les acoupas, maigres et aloses. C'est une pĂȘcherie littorale ou d'estuaire, oĂč la longueur du filet est limitĂ©e Ă  3 000 pieds 914 m de mai Ă  septembre mais pas le reste de l'annĂ©e et oĂč les pĂȘcheurs surveillent les filets en permanence une trentaine de filets seulement ont Ă©tĂ© utilisĂ©s en 1977 O'Hara et al. 1986. Les captures de tortues carettes n'ont Ă©tĂ© enregistrĂ©es qu'en petit nombre. Dans et autour de la baie de la Chesapeake plus de 6 000 pĂȘcheurs utilisent des filets maillants cĂŽtiers, y compris des filets dĂ©rivants. Un nombre inconnu de grands dauphins, ainsi qu'une baleine occasionnellement capturĂ©e, et beaucoup de gibier d'eau ont Ă©tĂ© pris dans ces pĂȘcheries cĂŽtiĂšres O'Hara et al. 1986. Un importante pĂȘcherie littorale, principalement axĂ©e sur l'alose et Ă  laquelle participent plus de 4 500 bateaux Douglas 1989, utilise de petits filets dĂ©rivants ou fixes en Caroline du Nord et du Sud et en GĂ©orgie. La lĂ©gislation rĂ©glementant la taille des mailles et la longueur des filets varie selon les diffĂ©rentes rĂ©gions. Une quinzaine de grands dauphins par annĂ©e sont probablement emmĂȘlĂ©s, de mĂȘme qu'un nombre inconnu de tortues, de plongeons et d'autres oiseaux. On n'a rĂ©pertoriĂ© que peu de marsouins communs et de mĂ©gaptĂšres pendant cette pĂȘcherie Read 1990. Ces derniĂšres annĂ©es, deux nouvelles pĂȘcheries au filet dĂ©rivant se sont dĂ©veloppĂ©es au large de la Floride, axĂ©es sur les requins et les maquereaux espagnols. La pĂȘcherie aux requins englobe 24 bateaux Douglas 1989 mais aucune autre prĂ©cision n'a Ă©tĂ© recueillie. La pĂȘche de thazards a dĂ©marrĂ© au dĂ©but des annĂ©es 80, mais seules quelques unitĂ©s y ont participĂ© jusqu'en 1986. En 1987, le nombre de bateaux est passĂ© de 7 Ă  13. Les filets ont une longueur moyenne de 3 000 yards 2 742 m ou plus, et un bateau a dĂ©ployĂ© 7 000 yards 6 398 m en 1987. Les bateaux travaillent au delĂ  des 3 milles au large des cĂŽtes de Floride d'avril Ă  septembre et utilisent une maille de 5 pouces 127 mm et un fil de nylon des nappes ayant environ 15–24 m de profondeur. La pĂȘche au filet dĂ©rivant est effectuĂ©e de nuit avec des temps de sĂ©jour dans l'eau de 12 heures. En 1987, des observateurs du service national de la pĂȘche maritime ont assistĂ© Ă  38 opĂ©rations, soit 5,2 pour cent du nombre total de marĂ©es 73, et ont rĂ©pertoriĂ© les captures, les dĂ©barquements et les Ă©carts. Les rĂ©sultats de Schaefer et al. 1989 sont reproduits dans le Tableau 32. Ni mammifĂšre marin ni tortue n'ont Ă©tĂ© capturĂ©s, mais une tortue luth s'est Ă©chappĂ©e lors de la remontĂ©e du filet. On sait peu de choses sur la pĂȘche au filet dĂ©rivant dans les CaraĂŻbes et l'AmĂ©rique du Sud. Les filets dĂ©rivants sont largement employĂ©s dans certains secteurs de la cĂŽte est mexicaine pour de grandes espĂšces de poissons pĂ©lagiques J. Gonzalez-Cano comm. pers., mais aucune donnĂ©e quantitative n'est disponible en ce qui concerne l'effort ou les captures. Dans la plupart des Ăźles CaraĂŻbes des piĂšges Ă  poisson et des lignes diverses sont les plus communĂ©ment employĂ©s. Dans certaines Ăźles cependant, on utilise des filets maillants. En JamaĂŻque, par exemple, le filet maillant se substituerait peu Ă  peu aux piĂšges COPACO 1986. Dans la Barbade, les poissons volants sont capturĂ©s Ă l'aide de filets dĂ©rivants ayant des mailles de 41 mm Storey 1984, citĂ© par Mahon et al. 1986. Dans les Antilles françaises, des filets maillants en nylon sont employĂ©s pour la capture des carangues, des balaous, des poissons volants et des mulets; la pĂȘche aux filets dĂ©rivants pratiquĂ©e Ă  la Barbade a aussi Ă©tĂ© introduite Ă  la Dominique et Ă  la Grenade Hess 1961 citĂ© par Mahon et al. 1986. Vidal et al. 1990 font Ă©tat de l'utilisation de filets maillants, y compris d'engins dĂ©rivants, pour la capture de requins, de thazards, de carangues et de daurades au Costa Rica, de mulets cabot en RĂ©publique dominicaine oĂč ces auteurs ont observĂ© la capture d'un jeune mĂ©gaptĂšre, et de poissons non spĂ©cifiĂ©s Ă  Puerto Rico. Van Waerebeek 1990 fait Ă©tat de captures de dauphins dans une pĂȘcherie utilisant le filet maillant pour le poisson pĂ©lagique y compris les carangidĂ©s et les requins en Guyane française. Environ 20–25 bateaux brĂ©siliens opĂšrent au large de la Guyane française et, selon une estimation, il y aurait 4–5 dauphins de deux espĂšces capturĂ©s par marĂ©e. Chaque marĂ©e peut durer une semaine. Van Waerebeek suppose que les espĂšces Ă©taient probablement de grands dauphins et des sotalies Sotalia fluviatilis. La mĂ©thode d'utilisation des filets maillants n'a toutefois pas Ă©tĂ© indiquĂ©e. A Trinidad, il y a une pĂȘcherie artisanale pour le thazard comprenant plus de 100 bateaux d'environ 10 m Ă©quipage de 2 ou 3. Les engins employĂ©s sont des filets dĂ©rivants de mailles de 4 Ă  4,5 pouces 192–114 mm constituĂ©s principalement de fil multifilament No. 12–15. Les nappes ont 100–150 m de long et environ 10 m de hauteur. Jusqu' Ă  5 nappes de filet sont installĂ©es en mĂȘme temps 500–750 mm. La pĂȘche commence au crĂ©puscule et dure environ 6 heures, les filets Ă©tant remontĂ©s aux environs de minuit. En 1989, 5 325 marĂ©es ont Ă©tĂ© effectuĂ©es. Les principales espĂšces visĂ©es Ă©taient le Scomberomorus brasiliensis et S. cavalla Sturm comm. pers.. Le seul enregistrement dĂ©taillĂ© de mammifĂšre marin dans cette pĂȘcherie concernait une femelle d'orque de 8 Ă  10 ans Orcinus orca qui faisait partie d'un groupe d'environ 15 individus et Ă©tait emmĂȘlĂ©e dans un filet remontĂ©, le 10 juin 1987, dans le golfe de Paria. D'autres membres du groupe ont tentĂ© de libĂ©rer la baleine en heurtant le bateau et en s'attaquant au filet. Des dauphins d'espĂšces inconnues se trouveraient aussi parfois pris dans les filets T. Ottley, comm. pers.. TABLEAU 32 EspĂšces non recherchĂ©es dans la pĂȘcherie de thazards en Floride Schaefer et al. 1989 EspĂšcesNombre de captures% de captures annexes%des captures totales Thonine1 85467,023,1 Barracuda30010,83,7 Assiette atlantique1003,61,2 Emissole953,41,2 Requins diverses espĂšces893,21,1 Balistes732,60,9 Poisson dollar531,90,7 Remora321,20,4 Cownose ray271,00,3 Voilier220,80,3 Carangue210,80,3 Requin marteau160,60,2 Maigre atlantique150,50,2 Carangue crevalle120,40,1 Faux hareng100,40,1 Atlantic Bumper80,30,1 Cordonnier fil80,30,1 SĂ©riole60,20,1 Flet50,20,1 Rascasses30,1<,1 Balistes20,1<,1 Grondi rayĂ©20,1<,1 Manta20,1<,1 Vivaneau noir20,1<,1 Requin tigre1<,1<,1 Pastenague1<,1<,1 Pompano1<,1<,1 MĂ©rou1<,1<,1 Guitare1<,1<,1 StromatĂ©1<,1<,7 Coffre1<,1<,1 StromatĂ©1<,1<,1 Bonite Ă dos rayĂ©1<,1<,1 Au BrĂ©sil, la pĂȘche au filet dĂ©rivant est trĂšs rĂ©pandue le long de la cĂŽte, mais on ne dispose que de peu de donnĂ©es statistiques. Dans l'Etat de Maranhao, par exemple, des bateaux artisanaux, estimĂ©s Ă  5 000, pourraient employer des filets dĂ©rivants Ă  grande maille, dont la longueur n'est souvent que d'une centaine de mĂštres ou quelques centaines de mĂštres V. Batista comm. pers.. Des filets dĂ©rivants pour le poisson chat sont aussi utilisĂ©s dans l'Amazone et captureraient des sotalies. Le long des cĂŽtes de l'Uruguay et de l'Argentine existent d'importantes pĂȘcheries au filet maillant, notamment en Uruguay oĂč une pĂȘcherie utilisant des filets Ă  grande maille aurait tuĂ©, pour la capture de requins, plus de 3 000 dauphins franciscains Pontoporia blainvillei entre 1974 et 1989 praderi 1990. De telles pĂȘcheries aux requins existent dans le sud du BrĂ©sil et en Argentine, et l'on sait que des lagĂ©norhynques obscurs Lagenorhynchus obscursus et des marsouins de Burmeister Phocoena spinipinnis ont Ă©galement Ă©tĂ© capturĂ©s. La plupart de ces pĂȘcheries semblent toutefois utiliser des filets fixes et non des filets dĂ©rivants Crespo et Corcuera 1990.
PĂȘcheau filet / PĂȘche en mer. Filets droits . Se pose en mer comme un tramail, ce filet est souvent d’une hauteur minimum de 3 mĂštres, la maille rĂ©glementaire est de 50mm et la longueur de 50 mĂštres. C’est un filet qui est plus selectif en poissons et moins salissant qu’un tramail. On utilise ce filet en filet de fond (corde plombĂ©e 16 kgs pour une flottabilitĂ© d’environ 4 kgs
Accueil ‱Ajouter une dĂ©finition ‱Dictionnaire ‱CODYCROSS ‱Contact ‱Anagramme Filet pour la pĂȘche en mer — Solutions pour Mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s Recherche - Solution Recherche - DĂ©finition © 2018-2019 Politique des cookies. DĂ©couverte: Relevage de filet et pĂȘche Ă  la mitraillette. Le trois mailles, ou tramail, ou trĂ©mail, c'est un filet. Une mitraillette : un engin de pĂȘche. Le tout permet une sortie en mer super Tour d observation pliante 2022. Tatouage sourcils bordeaux 2022. En tant que Partenaire Amazon, je rĂ©alise un bĂ©nĂ©fice sur les achats RĂ©glementation pĂȘche en mer 2021 / Taille minimale de capture des poissons Pour pĂȘcher depuis un bateau,en plongĂ©e ou sur la plage Ă  titre de loisir, il faut respecter certaines rĂ©glementation pour la pĂȘche en mer varie d'une rĂ©gion a l'autre et Ă©volue tous les ans en fonction de la ressource. La rĂ©glementation concerne les plaisanciers,les pĂȘcheurs du bord quelque soit le type de pĂȘche de loisirs pratiquĂ©a pied, du rivage,sous marine ou embarquĂ© chaque pĂȘcheurs amateurs doit respecter les tailles minimales de capture et marquer ses prises en coupant la partie inf de la nageoire marquage doit ĂȘtre effectuĂ© des la capture sauf pour les spĂ©cimens conservĂ©s vivant a bord des bateaux avant d ĂȘtre relĂąchĂ©s. Toutes les espĂšces, sauf les istiophoridĂ©s, sont mesurĂ©es en longueur fourche, c'est-Ă -dire la distance en projection verticale entre l'extrĂ©mitĂ© de la mĂąchoire supĂ©rieure et l'extrĂ©mitĂ© du rayon caudal le plus court. Les tailles ou poids Ă  respecter s’appliquent aux espĂšces listĂ©es ci-dessous,et Ă  toute pĂȘche maritime de loisir,a partir de navires ou embarcations de plaisance battant pavillon français,quelle que soit la zone de capture,Ă©trangers dans les eaux sous souverainetĂ© ou juridiction française. - en action de nage ou de plongĂ©e - Ă  pied sur le domaine public maritime et sur la partie des fleuves, riviĂšres ou canaux oĂč les eaux sont salĂ©es. Sanctions applicables en cas d’infraction - amende pĂ©nale jusqu’à 22 500€, - sanction administrative amende jusqu’à 1 500€/quintal, retrait de l’autorisation de pĂȘcher le thon rouge. Engraulis encrasicolus L’anchois est le seul reprĂ©sentant europĂ©en des EngraulidĂ©s, petite famille proche de celle des ClupĂ©idĂ©s oĂč figurent la sardine et le encrasicolus possĂšde une mĂąchoire supĂ©rieure nettement plus avancĂ©e que la caractĂšre permet de le diffĂ©rencier des clupĂ©idĂ©s qui ont des mĂąchoires qui ne dĂ©passe pas la longueur de 20 cm, est une espĂšce trĂšs commune dans l’ocĂ©an Atlantique, du Maroc Ă  la mer du Nord. Elle est Ă©galement prĂ©sente en un poisson pĂ©lagique grĂ©gaire qui vit en bancs de grande taille. C’est une espĂšce microphage. L’anchois a une grande importance Ă©conomique et est pĂȘchĂ© au chalut pĂ©lagique ou Ă  la rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 12 cm - MĂ©diterranĂ©e 9 cm Marquage obligatoire Dicentrarchus labrax Le bar commun, est l’une des deux espĂšces de MoronidĂ©s prĂ©sentes en Europe. Il atteint une taille d’un mĂštre et ne peut ĂȘtre confondu qu’avec le bar tachetĂ© Dicentrarchus punctatus qui appartient Ă  la mĂȘme famille ou avec le maigre Argyrosomus regius qui fait partie des SciaenidĂ©s. Mais l’absence de taches noires sur le corps permet de le diffĂ©rencier de la premiĂšre espĂšce. Les deux espĂšces de bar ont par ailleurs deux nageoires dorsales de taille sub-Ă©gale alors que le maigre possĂšde une deuxiĂšme nageoire dorsale beaucoup plus longue que la premiĂšre. Le bar commun est prĂ©sent en ocĂ©an Atlantique du Maroc Ă  la NorvĂšge. Il frĂ©quente aussi la MĂ©diterranĂ©e et la mer un poisson cĂŽtier, qui frĂ©quente surtout les zones battues par la mer. L’espĂšce est grĂ©gaire et se dĂ©place en bancs. Lorsqu’il est seul, le bar chasse Ă  l’affĂ»t ; quand il est en groupe, il s’attaque aux poissons pĂ©lagiques. Il se nourrit de crustacĂ©s de mollusques cĂ©phalopodes et de poissons. C’est une espĂšce recherchĂ©e pour sa chair qui est pĂȘchĂ©e Ă  la ligne et au chalut pĂ©lagique. Taille rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 42 cm - MĂ©diterranĂ©e 30 cm Marquage obligatoire Nouvelle rĂ©glementation pour la Manche,la mer d'Irlande et la mer du Nord,au nord du 48Ăšme parallĂšle,Deux bars par jour pendant 9 mois[1er mars au 30 novembre 2020] En dehors de cette pĂ©riode,les prĂ©lĂšvements ne sont pas autorisĂ©s ,le Catch & Release est obligatoire. Pour le Golfe de Gascogne au sud du 48Ăšme parallĂšle la rĂ©glementation Ă©volue et passe de trois bars par jour/pĂȘcheur a deux poissons du 1er janvier au 31 dĂ©cembre 2020. Dicentrarchus punctatus Le Bar mouchetĂ© ou Bar tachetĂ© Dicentrarchus punctatus, parfois surnommĂ© loup, est une espĂšce de poissons marin appartenant Ă  la famille des MoronidĂ©s. il est plus mĂ©ridional que le Bar commun, il vit au nord du golfe de Gascogne et dans la mer MĂ©diterranĂ©e, le plus frĂ©quemment le long des cĂŽtes du Sud, et sur la cĂŽte ouest de l'Afrique, du Maroc au SĂ©nĂ©gal. Il est commun tout le long de la cĂŽte italienne, Ă  l'exception, du nord de l'Adriatique. il possĂšde un corps allongĂ© et lĂ©gĂšrement comprimĂ© pourvu de 2 nageoires dorsales de mĂȘme longueur et hauteur, sĂ©parĂ©e une Ă©pineuse prĂšs de la tĂȘte et l’autre molle. En outre il possĂšde 2 nageoires pectorales, 2 ventrales et une anale. Le dessus de la tĂȘte du bar mouchetĂ© est rectiligne et sa bouche est large. Le dos du bar mouchetĂ©, dit aussi tachetĂ©, est de couleur gris bleutĂ©, clair Ă  foncĂ© parsemĂ© de nombreuses tĂąches noires et ses flancs et son ventre sont clairs rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 30 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Scophthalmus rhombus La barbue, est un poisson plat de la famille des ScophthalmidĂ©s oĂč l’on trouve aussi les cardines et le turbot. C’est un poisson plat au corps ovale qui atteint une taille maximale proche du mĂštre. Elle ne peut ĂȘtre confondue qu’avec le turbot. Comme lui elle Ă  les yeux placĂ©s sur le cĂŽtĂ© gauche, mais elle a une peau lisse au toucher alors que celle du turbot porte des tubercules osseux. Par ailleurs le turbot a un corps plus barbue est prĂ©sente en ocĂ©an Atlantique du Maroc Ă  la NorvĂšge. Elle frĂ©quente aussi la MĂ©diterranĂ©e et la mer Noire. Comme tous les poissons plats, la barbue est adaptĂ©e Ă  une vie sur le fond. Elle se nourrit surtout de une espĂšce dont la chair est apprĂ©ciĂ©e. Elle est pĂȘchĂ©e au rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 30 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Sarda sarda Bonite est le nom vernaculaire donnĂ© Ă  plusieurs espĂšces de poissons de la famille des ScombridĂ©s Scombridae. Cette famille de poissons comprend principalement,outre les bonites, les maquereaux,les thazards, et les diffĂ©rentes espĂšces de thons. Les bonites Ă  dos rayĂ© possĂšdent un corps fusiforme ovalisĂ© et compressĂ© latĂ©ralement, une tĂȘte pointue et des dents pointues assez hautes, coniques, dirigĂ©es vers l’arriĂšre, Ă  Ă©cartements irrĂ©guliers. La premiĂšre nageoire dorsale de la pĂ©lamide est longue et tenue par 20 Ă  23 Ă©pines, quasiment jointe Ă  la seconde dorsale. Le dos de la bonite Ă  dos rayĂ© est bleu sombre avec 5 Ă  11 bandes longitudinales obliques, ses flancs et son ventre sont blancs nacrĂ©s. La bonite est un prĂ©dateur diurne trĂšs actif prĂ©sente en Ă©tĂ© dans la zone littorale. Elles migrent vers le sud l’hiver, cependant certains spĂ©cimens restent actifs autour des Ăźles dans une profondeur supĂ©rieure Ă  15 rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord - - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Gadus morhua La morue appartient Ă  la famille des GadidĂ©s qui comprend aussi les lieus, le merlu, le merlan etc. Elle fait partie des gadidĂ©s qui possĂšdent trois nageoires dorsales et deux nageoires anales. Elle a un barbillon mentonnier dĂ©veloppĂ© et une mĂąchoire supĂ©rieure proĂ©minente. Ses nageoires pelviennes sont courtes et ne dĂ©passent pas l’anus. Ces diffĂ©rents caractĂšres Ă©vitent de la confondre avec les autres gadidĂ©s, exceptĂ© l’églefin. Mais chez celui-ci, il existe une grande tache sombre au-dessus de la nageoire pectorale ; elle est absente chez la morue. L’espĂšce peut m de longueur et 40 morue est une espĂšce nordique que l’on trouve depuis le golfe de Gascogne jusqu’au nord de la NorvĂšge, l’Islande et le Groenland. Elle est Ă©galement prĂ©sente sur les cĂŽtes vit principalement entre 150 et 200 m de profondeur mais se trouve depuis la cĂŽte jusqu’à 600 m de fond. Les adultes se nourrissent principalement de poissons et de crustacĂ©s. Des mollusques cĂ©phalopodes et des ophiures complĂštent son rĂ©gime alimentaire. C’est une espĂšce commerciale trĂšs importante pĂȘchĂ©e Ă  la ligne et au rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 42 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Lepidorhombus whiffiagonis La cardine est un poisson plat de la famille des ScophthalmidĂ©s, comme la barbue et le turbot. Elle possĂšde les deux yeux placĂ©s sur le cĂŽtĂ© gauche. Elle a aussi un corps allongĂ© de couleur brun clair et des nageoires pelviennes libres. Ces caractĂšres permettent de la diffĂ©rencier du turbot, de la barbue et du targeur qui appartiennent Ă  la mĂȘme famille. Elle ne peut en fait ĂȘtre confondue qu’avec la cardine Ă  quatre taches Lepidorhombus boscii qui vit plus profond. La prĂ©sence ou l’absence des taches sombres sur l’arriĂšre des nageoires anale et dorsale permet nĂ©anmoins de reconnaĂźtre les deux cardine est prĂ©sente en ocĂ©an Atlantique du Maroc Ă  la Scandinavie. Elle existe dans la partie ouest de la est pĂȘchĂ©e au chalut de fond. Ayant une peau peu adhĂ©rente, elle arrive souvent pelĂ©e Ă  bord des bateaux. Elle se nourrit principalement de poissons et de crustacĂ©s. Elle atteint la taille maximale de 60 rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 20 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Polyprion americanus Le cernier est parfois placĂ© avec les mĂ©rous dans la famille des SerranidĂ©s alors que d’autres auteurs le placent dans la famille des AcropomatidĂ©s. Il peut atteindre 2 m de longueur et un poids de 70 kg. De coloration brun-violacĂ© Ă  gris-noir, c’est le seul "mĂ©rou europĂ©en" qui possĂšde un opercule barrĂ© d’une crĂȘte osseuse horizontale. Le cernier est prĂ©sent des Ăźles Canaries Ă  la NorvĂšge mais il est rare au nord du golfe de Gascogne. Si le cernier vit sur les fonds rocheux, il est Ă©galement capturĂ© au niveau de la surface autour des objets flottants d’oĂč son surnom de vieille des bois. Il a une chair trĂšs rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord - - MĂ©diterranĂ©e 45 cm Marquage obligatoire Trachurus trachurus Le chinchard est un poisson de la famille des CarangidĂ©s qui comprend aussi le poisson pilote, les sĂ©rioles et les liches. C’est un poisson pĂ©lagique au corps fusiforme. Il se reconnaĂźt Ă  sa ligne latĂ©rale sinueuse entiĂšrement formĂ©e d’écailles hautes et aux trois Ă©pines situĂ©es Ă  l’avant de la nageoire chinchard est prĂ©sent en MĂ©diterranĂ©e, en mer Noire et en ocĂ©an Atlantique de la NorvĂšge Ă  l’Afrique du une espĂšce grĂ©gaire qui vit en pleine eau au niveau du plateau continental et au bord du talus. Adulte, le chinchard se nourrit de poissons pĂ©lagiques, de mollusques cĂ©phalopodes et de crustacĂ©s. C’est une espĂšce commerciale dont la chair est peu prisĂ©e en France. Elle atteint la taille maximale de 50 rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 15 cm - MĂ©diterranĂ©e 15 cm Marquage obligatoire Conger conger Le congre est le seul reprĂ©sentant des CongridĂ©s prĂ©sent sur les cĂŽtes atlantiques son corps allongĂ© de couleur brun, le congre est proche de l’anguille. Il s’en distingue par sa mĂąchoire supĂ©rieure qui dĂ©borde la mandibule. Les grands individus atteignent une longueur de m et un poids de 20 congres prĂ©sents le long des cĂŽtes bretonnes sont tous des juvĂ©niles. En effet, parvenu Ă  maturitĂ© sexuelle, le congre subit de grandes transformations atrophie du tube digestif, perte des dents
 Il quitte alors le plateau continental pour aller se reproduire au-dessus des grands fonds. AprĂšs la ponte les adultes meurent. Les larves vont dĂ©river entre 100 et 200 m de profondeur pendant un Ă  deux ans. ArrivĂ©s prĂšs des cĂŽtes, elles se mĂ©tamorphosent en un alevin d’une dizaine de centimĂštres qui vit en zone cĂŽtiĂšre. L’espĂšce a un intĂ©rĂȘt commercial mais sa chair est diversement rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 60 cm - MĂ©diterranĂ©e 60 cm Marquage obligatoire Sciaena umbra Les Corbs forment des bancs et vivent dans des eaux peu profondes avec une prĂ©fĂ©rence pour les fonds rocheux ou accidentĂ©s pour s'y abriter. Sur notre cĂŽte, cette espĂšce est malheureusement rare, mais semble revenir et repeupler les eaux des rĂ©serves marines. ActivitĂ© principalement corps du corb est gris brun avec des reflets cuivrĂ©s, les flancs sont plus clairs, argentĂ©s et le ventre dos est bombĂ© dans sa partie antĂ©rieure et donne au poisson un air bossu. Le ventre est plat. La ligne latĂ©rale est assez basse et descend vers le milieu des mĂąchoire supĂ©rieure est protractile et renferme une fine dorsales et la caudale sont grises Ă  gris jaune et bordĂ©es de noir. Les ventrales et l'anale sont noires avec les rayons Ă©pineux blancs. Taille rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 35 cm - MĂ©diterranĂ©e 35 cm Marquage obligatoire Dentex dentex Les Dentis sont classĂ©s parmi les grands prĂ©dateurs cĂŽtiers. Ils montent chasser en surface par mer agitĂ©e comme le font les bars et traquent leur proies sur les hauts fonds de roche, Ă  partir de 15-20 mĂštres de profondeur, par temps calme, et surtout en fin de journĂ©e. Leurs corps est assez haut et comprimĂ© latĂ©ralement, un peu semblable Ă  celui de la Daurade, mais avec une tĂȘte moins abrupte et trĂšs volumineuse. Le museau est allongĂ© par une partie frontale en pente rĂ©guliĂšre. les mĂąchoires trĂšs puissantes avec des lĂšvres dos est gris bleu Ă  mauve, les flancs sont parsemĂ©s de ponctuations bleues claires et sombres, le ventre est clair. Les nageoires sont teintĂ©es de adultes portent une marque jaunĂątre sur les rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord - - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Spondyliosoma cantharus La dorade grise est une des nombreuses espĂšces europĂ©ennes appartenant Ă  la famille des griset a un corps assez Ă©levĂ© et comprimĂ© latĂ©ralement, de couleur gris bleuĂątre. Il peut ĂȘtre confondu avec d’autres sparidĂ©s comme la saupe Sarpa salpa, le bogue Boops boops ou l’oblade Oblada melanura avec lesquels il partage le fait de ne possĂ©der ni canines ni molaires sur les mĂąchoires. Il se diffĂ©rencie facilement de l’oblade qui possĂšde une grande tache noire sur le pĂ©doncule caudal. Son corps Ă©levĂ© Ă©vite de le confondre avec le bogue dont le corps est fusiforme. Par ailleurs, la prĂ©sence de 9 Ă  11 rayons Ă  la nageoire anale et la grande taille de ses pectorales le diffĂ©rencient de la saupe dont la nageoire anale a de 13 Ă  15 rayons et qui possĂšde des nageoires pectorales plus griset, prĂ©sent en MĂ©diterranĂ©e, se trouve en ocĂ©an Atlantique de la NorvĂšge jusqu’à l’ atteint 50 cm de longueur. C’est un poisson grĂ©gaire qui vit en zone cĂŽtiĂšre du moins pendant l’étĂ©. En hiver il se tient plus au large par 50-100 m de profondeur. Le griset est une espĂšce omnivore qui s’adapte aux disponibilitĂ©s du milieu. L’espĂšce est surtout capturĂ©e au chalut mais elle est aussi pĂȘchĂ©e Ă  la ligne sur les cĂŽtes sud et ouest de la Bretagne. Sa chair est assez molle et le griset est loin d’ĂȘtre le plus prisĂ© des sparidĂ©s. Taille rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 23 cm - MĂ©diterranĂ©e 23 cm Marquage obligatoire Pagellus bogaraveo Pagellus bogaraveo fait partie, comme les autres daurades, de la famille des SparidĂ©s. Elle fait partie du groupe des dorades roses oĂč figurent Ă©galement les pageots Pagellus acarne et Pagellus erythrinus, le pagre commun Pagrus pagrus et le dentĂ© commun Dentex dentex. Les trois espĂšces du genre Pagellus ne possĂšdent pas de canines antĂ©rieures ce qui permet de les diffĂ©rencier du pagre. Par contre elles possĂšdent des molaires absentes chez le dentĂ© qui n’a que des incisives. Des trois espĂšces de pageot, Pagellus erythrinus est la seule qui ne possĂšde pas de tache sur le corps. Pagellus bogaraveo prĂ©sente une tache noire au dĂ©but de la ligne latĂ©rale et Pagellus acarne a une tache brun-rouge Ă  la base des nageoires pectorales. Pagellus erythrinus est une espĂšce prĂ©sente en ocĂ©an Atlantique de la NorvĂšge Ă  l’Angola. Elle existe Ă©galement en MĂ©diterranĂ©e et en mer Noire. Les individus vivent en petits groupes au-dessus du fond entre 10 et 200 m de profondeur. Les plus grands individus atteignent une longueur de 50 cm. C’est une espĂšce recherchĂ©e qui possĂšde une chair rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 35 cm - MĂ©diterranĂ©e 33 cm Marquage obligatoire Sparus aurata La vraie dorade est aussi appelĂ©e la dorade royale. Comme les autres dorades, elle appartient Ă  la famille des dorade royale, qui peut atteindre 80 cm de longueur, prĂ©sente sur le front une bande dorĂ©e entre les yeux et une tache noire bordĂ©e de rouge sur l’opercule. La nageoire caudale est gris foncĂ©, le dos est gris bleutĂ© et les flancs sont gris argentĂ©. Les mĂąchoires portent 4 Ă  6 canines antĂ©rieures et 2 Ă  4 sĂ©ries de molaires latĂ©rales. Ces diffĂ©rents caractĂšres Ă©vitent de la confondre avec une autre dorade royale est prĂ©sente en MĂ©diterranĂ©e et en ocĂ©an Atlantique du SĂ©nĂ©gal aux Ăźles Ă©tĂ©, c’est une espĂšce littorale qui se rencontre dans les ports et les Ă©tangs d’eau saumĂątre. L’hiver elle se tient plus au large sur des fonds de 20 m de profondeur. Elle vit souvent en petits groupes. Elle se nourrit de mollusques bivalves notamment de moules qu’elle broie grĂące Ă  ses fortes molaires. Sa chair est trĂšs apprĂ©ciĂ©e. L’espĂšce fait l’objet d’aquaculture dans les lagunes rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 23 cm - MĂ©diterranĂ©e 23 cm Marquage obligatoire Melanogrammus aeglefinus L’églefin appartient comme les lieus et la morue Ă  la famille des GadidĂ©s. Il ne peut ĂȘtre confondu qu’avec le tacaud, le merlan ou la morue. La prĂ©sence d’une grande tache noire sur la ligne latĂ©rale au niveau des nageoires pectorales est un critĂšre qui permet normalement de reconnaĂźtre l’ une espĂšce nordique que l’on trouve de l’Islande et la NorvĂšge jusqu’au golfe de Gascogne ; l’espĂšce est aussi prĂ©sente en Atlantique de l’ est un poisson qui vit au voisinage immĂ©diat du fond entre 80 et 200 m de profondeur. Il se nourrit d’invertĂ©brĂ©s Ă©chinodermes, mollusques bivalves et gastĂ©ropodes, annĂ©lides et crustacĂ©s. Les grands spĂ©cimens atteignent la longueur de un mĂštre pour un poids de douze rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 30 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Xiphias gladius L’espadon appartient Ă  la famille des XiphiidĂ©s. C’est un poisson Ă©lancĂ© qui possĂšde une nageoire dorsale et des nageoires pectorales falciformes. Avec son long rostre aplati il ne peut guĂšre ĂȘtre confondu qu’avec les voiliers et marlins qui appartiennent Ă  la famille des IstiophoridĂ©s. Mais l’absence de nageoires pelviennes chez l’espadon permet de l’identifier facilement. Un autre critĂšre de dĂ©termination de cette espĂšce est la forme du rostre il a une section aplatie en lame d’épĂ©e chez l’espadon alors qu’il est presque circulaire chez les voiliers et est une espĂšce cosmopolite que l’on trouve dans les ocĂ©ans Atlantique, Pacifique et Indien. Il est prĂ©sent dans les eaux europĂ©ennes de l’Écosse Ă  la NorvĂšge au nord jusqu’aux cĂŽtes africaines au sud. L’espĂšce vit Ă©galement en MĂ©diterranĂ©e et en mer individus sont souvent solitaires. Ils vivent en surface en haute mer mais peuvent aller chercher leur nourriture jusqu’à des profondeurs de 650 m. L’espadon consomme des poissons pĂ©lagiques et des mollusques espadons prĂ©sentent un dimorphisme sexuel trĂšs marquĂ© les mĂąles ne dĂ©passeraient que rarement 2 m de longueur pour un poids de 120 kg alors que les femelles atteindraient jusqu’à m et 550 kg. L’espĂšce a un intĂ©rĂȘt Ă©conomique et est pĂȘchĂ©e Ă  la ligne en mĂȘme temps que les rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 170 cm - MĂ©diterranĂ©e- Marquage obligatoire Platichthys flesus Le flet est un poisson plat de la famille des PleuronectidĂ©s comme les flĂ©tans, la plie ou la limande. C’est une espĂšce qui atteint une longueur de 50 cm. Le dos est de couleur olivĂątre ou brunĂątre avec des taches rouges ou orangĂ©es, le ventre est blanc mat. C’est le seul poisson plat Ă  possĂ©der Ă  la base des nageoires dorsale et anale une rangĂ©e de tubercules osseux. Ceci permet normalement de l’identifier flet est prĂ©sent en ocĂ©an Atlantique du Maroc Ă  la Scandinavie. Il existe Ă©galement en mer Baltique et en un poisson estuarien qui remonte jusqu’en eaux douces. Il redescend en mer pour pondre. C’est un poisson benthique qui se nourrit de mollusques de poissons, de vers polychĂštes et de crustacĂ©s. Bien que commercialisĂ©e, c’est une espĂšce peu rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 20 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Clupea harengus Le hareng appartient, comme la sardine ou le sprat, Ă  la famille des ClupĂ©idĂ©s. Il fait partie des clupĂ©idĂ©s ayant un opercule lisse. Ceci permet de le diffĂ©rencier de la sardine et des aloses. Il ne peut donc ĂȘtre confondu qu’avec le sprat Sprattus sprattus. La distinction entre les deux espĂšces se fait en observant l’implantation des nageoires. Chez le hareng le dĂ©but de la nageoire dorsale se situe en avant des nageoires pelviennes alors que chez le sprat il se situe Ă  l’aplomb ou en arriĂšre des nageoires une espĂšce nordique dont l’aire de distribution s’étend du golfe de Gascogne Ă  la hareng est un poisson pĂ©lagique grĂ©gaire qui se rapproche des cĂŽtes lors de la reproduction. Alors que la plupart des autres clupĂ©idĂ©s pondent des Ɠufs pĂ©lagiques, le hareng pond des Ɠufs adhĂ©rents qui se fixent sur les fonds durs et les algues. C’est une espĂšce d’une grande importance Ă©conomique qui est pĂȘchĂ©e au chalut et Ă  la senne. Il est consommĂ© frais, fumĂ© ou en conserves. A la fin des annĂ©es 1970, la pĂȘche intensive des harengs de la mer du Nord ainsi que le passage des chaluts de fond sur les zones de fraie ont failli faire disparaĂźtre l’espĂšce de cette zone gĂ©ographique. Le hareng se nourrit principalement de crustacĂ©s et de poissons. Il atteint la taille de 40 cm. Taille rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 20 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Pollachius pollachius Le lieu jaune fait partie comme la morue, le merlu et le merlan de la famille des GadidĂ©s. Il fait partie des gadidĂ©s europĂ©ens qui possĂšdent trois nageoires dorsales et deux nageoires anales. Il n’a pas de barbillon mentonnier ce qui le diffĂ©rencie de la morue ou du tacaud. Il possĂšde une mĂąchoire infĂ©rieure proĂ©minente et des nageoires dorsales proches l’une de l’autre. Ces deux caractĂšres Ă©vitent de le confondre avec le poutassou et le merlan. En fait, il ne partage tous les caractĂšres prĂ©cĂ©demment citĂ©s qu’avec le lieu noir Pollachius virens. Mais le lieu jaune possĂšde une ligne latĂ©rale de couleur foncĂ©e et incurvĂ©e au-dessus des nageoires pectorales alors qu’elle est de couleur claire et droite chez le lieu lieu jaune est une espĂšce nord-atlantique que l’on trouve depuis le nord de la NorvĂšge et l’Islande au nord, jusqu’au Portugal au peut atteindre la taille maximale de m. C’est une espĂšce recherchĂ©e pour sa chair. Elle est pĂȘchĂ©e au chalut, au filet, Ă  la palangre et Ă  la ligne. Elle vit souvent en petits groupes. Les jeunes individus sont trĂšs cĂŽtiers ; ils migrent plus au large en vieillissant. Le lieu jaune se nourrit principalement de poissons tacauds, chinchards, lançons 
, mais il mange Ă©galement des crevettes et des mollusques rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 30 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Pollachius virens Le lieu noir est l’un des nombreux reprĂ©sentants europĂ©ens de la famille des ses trois nageoires dorsales rapprochĂ©es et ses deux nageoires anales, avec sa mĂąchoire infĂ©rieure proĂ©minente, le lieu noir ne peut ĂȘtre confondue qu’avec le lieu de la ligne latĂ©rale suffit nĂ©anmoins Ă  diffĂ©rencier les deux espĂšces. Elle est de couleur claire et droite chez le lieu noir alors qu’elle est de couleur sombre et incurvĂ©e au-dessus des nageoires pectorales chez le lieu une espĂšce de mer froide que l’on trouve en Europe depuis la mer Blanche au nord, jusqu’au golfe de Gascogne au sud. Elle est Ă©galement prĂ©sente en Islande et au lieu noir peut atteindre la taille de m. C’est une espĂšce grĂ©gaire qui forme des bancs importants en pleine eau. Lorsqu’il est jeune, le lieu noir se nourrit surtout de crustacĂ©s et de petits poissons. En grandissant il devient nettement est pĂȘchĂ©e au chalut, principalement au nord de l’Écosse et en mer du Nord. Bien que sa chair soit moins bonne que celle du lieu jaune, le lieu noir a une importance Ă©conomique et est commercialisĂ© Ă  l’état frais ou surgelĂ©. Il est vendu sous le nom de colin lieu qu’il ne faut pas confondre avec le colin, autre nom du merlu, qui possĂšde une chair beaucoup plus rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 35 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Molva molva La julienne est un des nombreux reprĂ©sentants europĂ©ens de la famille des GadidĂ©s comme la morue, le lieu ou le merlu. C’est une espĂšce de grande taille qui peut atteindre 2 m de longueur. Elle possĂšde deux nageoires dorsales et une anale, un long barbillon mentonnier et une mĂąchoire supĂ©rieure proĂ©minente. Ces caractĂšres suffisent pour la diffĂ©rencier des autres espĂšces de en ocĂ©an Atlantique du nord de la NorvĂšge au Portugal, elle existe aussi en MĂ©diterranĂ©e occidentale mais y est julienne frĂ©quente les fonds rocheux entre 20 et 700 m de profondeur mais n’est commune qu’entre 100 et 400 m. Elle est pĂȘchĂ©e au chalut au filet et Ă  la ligne. Sa chair est apprĂ©ciĂ©e. Elle se nourrit principalement de poissons mais aussi de crustacĂ©s et de mollusques rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 63 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Limanda limanda La limande est comme la plie un poisson plat de la famille des PleuronectidĂ©s. Poisson plat au corps ovale sa la taille maximale ne dĂ©passe pas 40 cm. Comme chez les autres pleuronectidĂ©s, les deux yeux sont placĂ©s sur le cĂŽtĂ© droit de l’animal. L’espĂšce possĂšde par ailleurs une bouche petite. Elle se diffĂ©rencie du flet par l’absence de tubercules Ă  la base des nageoires dorsale et anale et de la plie par l’absence de tubercules osseux en arriĂšre de l’Ɠil. Elle prĂ©sente aussi une ligne latĂ©rale courbe au-dessus des nageoires pectorales ce qui n’est pas le cas chez les deux espĂšces limande est une espĂšce nordique que l’on trouve depuis le nord de la NorvĂšge et l’Islande au nord jusqu’au golfe de Gascogne au une espĂšce cĂŽtiĂšre qui vit entre 20 et 150 m de profondeur. Les adultes ont une alimentation variĂ©e Ă  base de crustacĂ©s, de mollusques bivalves et de vers. La petite taille de la bouche limite celle des proies. L’espĂšce est principalement pĂȘchĂ©e au chalut de rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 20 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Microstomus kitt La limande-sole est l’un des reprĂ©sentants europĂ©ens de la famille des PleuronectidĂ©s oĂč l’on trouve aussi la limande et la plie. C’est un poisson plat dont la taille maximale avoisine 65-70 cm. Elle a un corps ovale allongĂ© de couleur brun rougeĂątre marbrĂ© de points et de taches brunes, jaunes ou noires. Elle possĂšde par ailleurs une bouche trĂšs petite et une peau trĂšs lisse au toucher. Celle-ci est protĂ©gĂ©e par un abondant mucus qui rend l’animal particuliĂšrement glissant lorsque l’on veut s’en saisir. Ces diffĂ©rents caractĂšres permettent de la diffĂ©rencier facilement des autres limande-sole est une espĂšce nordique que l’on trouve de la mer Blanche et l’Islande au nord, jusque dans le golfe de Gascogne au vit entre 40 et 200 m de profondeur sur les fonds durs de roches, graviers ou cailloutis. L’adulte se nourrit de petites proies vers, petits crustacĂ©s, siphons de bivalves 
. C’est un poisson dont la chair est estimĂ©e et qui est pĂȘchĂ© au chalut de rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 25 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Lophius piscatorius et Lophius budegassa On regroupe sous le nom de baudroie deux espĂšces voisines, Lophius piscatorius LinnĂ©, 1758 et Lophius budegassa Spinola, 1807. Les deux espĂšces appartiennent Ă  la famille des LophiidĂ©s. Les baudroies, qui peuvent atteindre 2 mĂštres pour L. piscatorius et 90 cm pour L. budegassa, ont le corps aplati dorso-ventralement et une tĂȘte Ă©norme, plus large et aussi longue que le reste du corps. La tĂȘte est trĂšs ossifiĂ©e et porte de multiples tubercules Ă©pineux. Elle porte aussi un filament pĂȘcheur qui sert de leurre pour capturer les proies. Les baudroies ne peuvent ĂȘtre confondues avec d’autres espĂšces. Les deux espĂšces diffĂšrent entre elles par la couleur du pĂ©ritoine et le nombre de rayons sur la seconde dorsale. Lophius piscatorius possĂšde un pĂ©ritoine blanc et 8 Ă  10 rayons sur la dorsale alors que Lophius budegassa a un pĂ©ritoine noir et 11 Ă  13 rayons sur la piscatorius est prĂ©sente en ocĂ©an Atlantique du SĂ©nĂ©gal Ă  la mer de Barents ; elle existe aussi en MĂ©diterranĂ©e et en mer Noire. L. budegassa a une aire de distribution qui s’étend de l’Angola Ă  l’Irlande et qui englobe la baudroies sont des poissons benthiques qui chassent Ă  l’affĂ»t. Ce sont des animaux voraces qui se nourrissent surtout de poissons mais aussi de mollusques cĂ©phalopodes et de crustacĂ©s. Leur appĂ©tit est tel que des bouĂ©es de casiers et des oiseaux marins ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© retrouvĂ©s dans des estomacs. Taille rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 50 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Argyrosomus regius Le maigre est un des quatre reprĂ©sentants europĂ©ens de la famille des ScianidĂ©s. Mais c’est la seule espĂšce qui remonte au nord du Golfe de Gascogne et qui est donc susceptible d’ĂȘtre rencontrĂ©e sur les cĂŽtes bretonnes. Pouvant atteindre 2 m de longueur pour un poids supĂ©rieur Ă  50 kg, c’est un poisson gris argentĂ© Ă  reflets brunĂątres sur le dos. Les nageoires sont brun rougeĂątre et il possĂšde une tache foncĂ©e peu distincte sur l’opercule. L’intĂ©rieur de la bouche est de couleur maigre possĂšde par ailleurs deux nageoires dorsales distinctes mais jointives, la seconde Ă©tant plus grande que la premiĂšre. Il ne peut ĂȘtre confondu qu’avec le bar qui a sensiblement la mĂȘme allure, mais chez ce dernier les deux nageoires dorsales sont de mĂȘme est prĂ©sente en MĂ©diterranĂ©e et en ocĂ©an Atlantique des tropiques jusqu’aux Ăźles un poisson surtout cĂŽtier qui pĂ©nĂštre jusque dans les estuaires oĂč il se reproduit. Il vit en banc et chasse les bancs de mulets ou de clupĂ©idĂ©s sardines, chinchards. Il se nourrit Ă©galement de cĂ©phalopodes. Le maigre est une espĂšce recherchĂ©e pour sa chair de qualitĂ© mais aussi pour sa dĂ©fense acharnĂ©e lorsqu’il est pris Ă  la ligne. Il est Ă©galement pĂȘchĂ© au rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 45 cm - MĂ©diterranĂ©e 45 cm Marquage obligatoire Scomber scombrus Le maquereau commun appartient comme les thons et les bonites Ă  la famille des ScombridĂ©s. Il atteint une longueur de 50 cm. Avec son corps Ă©lancĂ© au dos bleu verdĂątre marquĂ© de lignes sinueuses plus foncĂ©es, il ne peut ĂȘtre confondu qu’avec le maquereau espagnol Scomber japonicus. Mais la coloration uniformĂ©ment argentĂ©e des flancs et du ventre permettent de reconnaĂźtre facilement l’ en Atlantique de l’est de l’Islande au Maroc, on le trouve Ă©galement en MĂ©diterranĂ©e et en mer maquereau est un poisson pĂ©lagique qui forme de grands bancs. Il se nourrit de crustacĂ©s pĂ©lagiques mais aussi de petits est pĂȘchĂ© au chalut pĂ©lagique mais aussi Ă  la ligne traĂźnante. Taille rĂ©glementaire - Atlantique et Manche 20 cm - Mer du nord 30 cm - MĂ©diterranĂ©e 18 cm Marquage obligatoire Merlangius merlangus Le merlan appartient Ă  la famille des GadidĂ©s comme la morue et le tacaud. C’est une espĂšce qui peut atteindre la taille maximale de 70 cm. Il fait partie des gadidĂ©s qui possĂšdent trois dorsales et deux anales. Il possĂšde un barbillon mentonnier trĂšs petit ce qui permet de le diffĂ©rencier des tacauds, Ă©glefin et morue. Il a les nageoires dorsales proches contrairement au merlan bleu et une mĂąchoire supĂ©rieure proĂ©minente alors que chez les lieus c’est la mandibule qui est le plus en merlan est prĂ©sent en mer Noire, en mer Adriatique et le long des cĂŽtes ouest de la pĂ©ninsule italienne. En ocĂ©an Atlantique, il existe depuis le Portugal jusqu’au nord de la NorvĂšge et l’ un poisson qui vit au voisinage du fond entre 20 et 100 m de profondeur. Il est solitaire ou en petit groupe. Il se nourrit de poissons, crustacĂ©s, mollusques et vers. Il est capturĂ© au chalut de fond, au filet et Ă  la ligne. C’est une espĂšce recherchĂ©e pour sa rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 27 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Merluccius merluccius Le merlu est l’un des nombreux reprĂ©sentants europĂ©ens de la famille des GadidĂ©s qui comprend aussi la morue, les lieus, les tacauds etc. Il qui peut atteindre une longueur de m et un poids supĂ©rieur Ă  7 kg. Il se diffĂ©rencie facilement des autres gadidĂ©s car c’est la seule espĂšce qui possĂšde deux nageoires dorsales et une nageoire anale et qui n’a pas de barbillon mentonnier. L’intĂ©rieur de la bouche est de couleur foncĂ©e et les mĂąchoires portent des dents pointues bien en MĂ©diterranĂ©e, et en ocĂ©an Atlantique du Maroc Ă  la Scandinavie, il est absent en Manche, en mer du Nord et en mer merlu vit surtout entre 100 et 200 m de profondeur mais on le trouve de la cĂŽte jusqu’à 1 000m. Il se rapproche de la surface pendant la nuit. Les jeunes individus se nourrissent principalement de crustacĂ©s ; les plus ĂągĂ©s mangent principalement des poissons et parfois des cĂ©phalopodes. Il est pĂȘchĂ© au chalut et Ă  la une espĂšce estimĂ©e qui a une grande importance rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 27 cm - MĂ©diterranĂ©e 20 cm Marquage obligatoire Gaidropsarus vulgaris La motelle Ă  trois barbillons appartient Ă  la famille des GadidĂ©s ou figurent Ă©galement la morue, les lieus ou le motelles sont des gadidĂ©s qui possĂšdent 2 nageoires dorsales et une nageoire anale. Elles ont toutes un barbillon sur le G. vulgaris deux barbillons situĂ©s sur la mĂąchoire supĂ©rieure viennent s’ajouter Ă  celui situĂ© sur le menton. L’espĂšce a un corps de couleur crĂšme-saumon ou roussĂątre avec de grandes taches noires sur le est prĂ©sente en MĂ©diterranĂ©e et en mer Adriatique. En ocĂ©an Atlantique on la trouve du Portugal Ă  la motelle Ă  trois barbillons atteint la taille maximale de 60 cm pour un poids de 1 kg. C’est une espĂšce littorale mais on la rencontre jusqu’à des profondeurs de 120 m. Elle se nourrit de crustacĂ©s, vers et de petits poissons. Sa chair se conserve assez Les termes de loches ou motelles sont utilisĂ©s pour dĂ©crire quelques espĂšces de gadidĂ©s qui possĂšdent plusieurs barbillons sur le museau. Les espĂšces les plus communes vivent dans les zones cĂŽtiĂšres rocheuses et les herbiers de zostĂšres. Les espĂšces rencontrĂ©es dans les eaux bretonnes appartiennent aux genres Ciliata, Enchelyopus et Gaidropsarus. Les plus courantes sont la motelle Ă  trois barbillons, appelĂ©e aussi motelle commune Gaidropsarus vulgaris Cloquet, 1824 et la motelle Ă  cinq barbillons Ciliata mustela LinnĂ©, 1758. Taille rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 30 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Liza aurata Le mulet dorĂ©, Liza aurata et le mulet sauteur, Liza saliens appartiennent comme les autres mulets Ă  la famille des aurata et L. saliens sont deux espĂšces Ă  lĂšvre supĂ©rieure mince et sans paupiĂšre adipeuse au niveau de l’Ɠil. Liza aurata possĂšde une grande tache dorĂ©e caractĂ©ristique prĂšs du bord supĂ©rieur de l’opercule. Chez L. saliens cette tache unique est habituellement remplacĂ©e par plusieurs petites taches dorĂ©es. L’autre critĂšre caractĂ©ristique de l’espĂšce est d’avoir une encoche trĂšs nette en arriĂšre de la commissure des deux espĂšces vivent en MĂ©diterranĂ©e. En ocĂ©an Atlantique, L. aurata se trouve du Maroc au sud de la NorvĂšge alors que la rĂ©partition gĂ©ographique de L. saliens s’étend du Maroc au nord du golfe de aurata atteint la taille maximale de 50 cm et L. saliens ne dĂ©passe pas 40 cm. Les deux espĂšces sont omnivores. L. saliens prĂ©fĂšre les eaux saumĂątres alors que L. aurata vit principalement en mulets sont des poissons pĂ©lagiques cĂŽtiers qui vivent dans les baies, les ports, les estuaires et mĂȘme les fleuves. Ils sont grĂ©gaires et forment de petits bancs constituĂ©s d’individus de mĂȘme Les mulets appartiennent Ă  la famille des MugilidĂ©s. Six espĂšces frĂ©quentent les eaux europĂ©ennes et cinq d’entre elles sont susceptibles d’ĂȘtre pĂȘchĂ©es sur les cĂŽtes bretonnes. Trois de ces espĂšces ont un nom vernaculaire en breton, ce sont Mugil cephalus appelĂ© mulet Ă  paupiĂšre double meill pevar lagad, Liza aurata et Liza saliens appelĂ©s en français mulet dorĂ© et mulet sauteur et regroupĂ©s sous le nom breton de lamner. Ils ont un corps fuselĂ© recouvert de grandes Ă©cailles adhĂ©rentes. Le dos est de couleur gris-plomb, le ventre est argentĂ©. Leur tĂȘte est massive et aplatie sur le dessus. Ils ont une bouche petite et des yeux Ă©cartĂ©s. Leurs nageoires pelviennes sont en position thoracique et leurs deux nageoires dorsales sont courtes et largement sĂ©parĂ©es l’une de l’autre. Taille rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 30 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Belone belone L’orphie appartient Ă  la famille des BĂ©lonidĂ©s qui regroupe des poissons au corps Ă©lancĂ© subcylindrique, Ă  mĂąchoires allongĂ©es et formant un plus des caractĂšres prĂ©cĂ©demment citĂ©s, les orphies ont la particularitĂ© d’avoir les nageoires dorsale et anale trĂšs en arriĂšre et les nageoires pelviennes en position abdominale. L’orphie commune ne peut en fait, ĂȘtre confondue qu’avec les deux autres espĂšces de la mĂȘme famille l’aiguille voyeuse Tylosurus acus imperialis et l’orphie mĂ©diterranĂ©enne Belone svetovidovi qui vivent toutes deux en MĂ©diterranĂ©e. Les deux espĂšces d’orphie se diffĂ©rencient de l’aiguille voyeuse car elles possĂšdent une nageoire dorsale qui n’a que 16 Ă  20 rayons alors que celle-ci a une dorsale avec de 20 Ă  26 rayons. L’orphie commune se diffĂ©rencie ensuite de l’orphie mĂ©diterranĂ©enne grĂące Ă  ses dents vomĂ©riennes qui sont absentes chez l’autre espĂšce. L’orphie atteint la longueur maximale de 60 est prĂ©sente en MĂ©diterranĂ©e et en ocĂ©an Atlantique du Maroc au nord de la NorvĂšge et l’Islande. C’est une espĂšce pĂ©lagique grĂ©gaire qui vit en petit banc. EspĂšce ocĂ©anique elle se rapproche des cĂŽtes durant l’étĂ©. Elle se nourrit de poissons, de mollusques cĂ©phalopodes et de crustacĂ©s planctoniques. Elle a la particularitĂ© d’avoir des arĂȘtes de couleur verte. Elle est pĂȘchĂ©e Ă  la senne ou Ă  la ligne. Taille rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 30 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Pagrus pagrus Le pagre commun est l’un des nombreux reprĂ©sentants europĂ©ens de la famille des SparidĂ©s. Atteignant une taille maximale de 75 cm et un poids de 10 kg, c’est un poisson Ă  dos rose et flancs argentĂ©s. La nageoire caudale est rose avec des pointes blanches. Les mĂąchoires ne portent pas d’incisives mais possĂšdent 4 Ă  6 canines antĂ©rieures et 2 Ă  4 rangĂ©es de fortes molaires. Ces diffĂ©rents caractĂšres permettent de diffĂ©rencier le pagre des autres espĂšces de pagre est prĂ©sent en MĂ©diterranĂ©e et en ocĂ©an Atlantique de l’Angola Ă  la vit entre 10 et 200 m de profondeur. Il se nourrit de crustacĂ©s, de poissons et de chair est rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord - - MĂ©diterranĂ©e 18 cm Marquage obligatoire Pleuronectes platessa La plie appartient comme la limande ou le flet Ă  la famille des PleuronectidĂ©s. C’est un poisson plat dont les plus grands individus peuvent atteindre la longueur de 1 m. Comme chez tous les pleuronectidĂ©s, les yeux sont situĂ©s sur le cĂŽtĂ© droit de l’animal. Avec son corps brunĂątre portant de nombreuses taches circulaires orangĂ©es ou rouges, la plie ne peut ĂȘtre confondue qu’avec le flet et la limande. Elle se diffĂ©rencie de celles-ci par la prĂ©sence en arriĂšre de l’Ɠil d’une rangĂ©e de 4 Ă  7 gros tubercules ocĂ©an Atlantique, la plie est prĂ©sente sur toutes les cĂŽtes europĂ©ennes jusqu’à la mer Blanche. On la trouve Ă©galement en MĂ©diterranĂ©e occidentale mais elle y est plus plie vit sur les fonds de sable ou de vase de 10 Ă  120 m de profondeur. Elle a un rĂ©gime alimentaire principalement constituĂ© de mollusques bivalves, de vers, de crustacĂ©s et d’échinodermes ophiures. Bien que sa chair ne soit pas vraiment rĂ©putĂ©e, l’espĂšce est largement consommĂ©e. Elle est pĂȘchĂ©e au chalut de fond et au rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 27 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire Scorpaena scrofa La rascasse est un poisson qui peut atteintre 50 cm de long. Son corps est trapu. Sa tĂȘte est massive, couverte de nombreux lambeaux de peau. Ses yeux sont gros et surmontĂ©s d'un tentacule court et sa bouche est trĂšs large. Le chapon possĂšde une nageoire dorsale Ă©chancrĂ©e allant de la tĂȘte Ă  la queue. La partie antĂ©rieure de cette nageoire est dotĂ©e de rayons Ă©pineux durs contenant un venin virulent qui peut infliger des piqures extrĂšmement douloureuses. La partie postĂ©rieure a des rayons Ă©pineux mous. La rascasse est rouge-orangĂ© avec des marbrures claires et foncĂ©es qui lui procure un excellent camouflage. La nageoire dorsale a une tache noire. La rascasse rouge vit gĂ©nĂ©ralement posĂ©e sur les roches, immobile Ă  l'affĂ»t des poissons et crustacĂ©s dont elle se la rencontre entre 10 m et 300 m de profondeur en Manche, en Atlantique depuis les Iles britanniques jusqu'au SĂ©nĂ©gal et en rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 30 cm - MĂ©diterranĂ©e 30 cm Marquage obligatoire Mullus surmuletus Le rouget-barbet appartient Ă  la famille des MullidĂ©s. Avec sa couleur rouge, ses deux grands barbillons mentonnier et ses deux nageoires dorsales bien sĂ©parĂ©es, le rouget-barbet ne peut ĂȘtre confondu qu’avec le rouget-barbet de vase Mullus barbatus. Il s’en distingue par son front moins busquĂ© et sa premiĂšre nageoire dorsale rouget-barbet est prĂ©sent en MĂ©diterranĂ©e et en ocĂ©an Atlantique du Maroc Ă  la une espĂšce qui vit sur le plateau continental ente 10 et 200 m de profondeur. Lors de la reproduction, les rougets-barbets vivent prĂšs des cĂŽtes en groupes plus ou moins importants. Ils se nourrissent de crustacĂ©s et de vers qu’ils trouvent en fouillant le sĂ©diment avec leurs barbillons mentonniers. L’espĂšce atteint la taille de 40 cm et est recherchĂ©e pour la qualitĂ© de sa rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 15 cm - MĂ©diterranĂ©e 15 cm Marquage obligatoire Diplodus sargus Le sar commun est un poisson de 15 Ă  30 cm de longueur commune, pouvant atteindre 45 cm. Comme tous les SparidĂ©s, il ne possĂšde qu'une nageoire dorsale. Le corps est ovale, Ă©levĂ© et comprimĂ© latĂ©ralement. Les lĂšvres sont minces sur une bouche lĂ©gĂšrement protractile*. Elle comporte sur chaque mĂąchoire, 8 incisives et plusieurs rangĂ©es de coloration dominante est gris argentĂ©, avec un dos beige grisĂątre, et une coloration gris foncĂ© sur l'espace interorbitaire et le museau. Les opercules sont gĂ©nĂ©ralement bordĂ©s de noir, et une tache sombre en forme de selle est visible sur le pĂ©doncule* caudal. Celle-ci n'atteint pas le bord infĂ©rieur du pĂ©doncule. Une tache sombre se trouve aussi sur l'arriĂšre de la base des nageoires pectorales. Les nageoires pelviennes sont sombres avec le bord antĂ©rieur blanc. L'arriĂšre de la nageoire caudale est de couleur individus jeunes portent 8 Ă  9 stries verticales sombres sur la partie supĂ©rieure du dos, lesquelles peuvent disparaĂźtre chez les adultes Ă  partir de 20 cm de longueur chez la sous-espĂšce mĂ©diterranĂ©enne Diplodus sargus sargus. La robe du sar commun de MĂ©diterranĂ©e Diplodus sargus sargus varie selon le lieu oĂč se trouve le poisson dans des biotopes trĂšs clairs sable, les individus seront eux aussi trĂšs clairs, les rayures et les taches auront tendance Ă  disparaĂźtre mĂȘme chez les jeunes individus. En revanche, dans des zones de roches foncĂ©es, les sars seront plus foncĂ©s et les rayures seront plutĂŽt visibles. Les rayures ont aussi tendance Ă  apparaĂźtre ainsi qu'un assombrissement gĂ©nĂ©ral quand le poisson est stressĂ© soit par un prĂ©dateur, soit par un congĂ©nĂšre ou autre. Durant la phase de sommeil nocturne, le sar commun adopte une robe plutĂŽt foncĂ©e laissant apparaĂźtre ses rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 25 cm - MĂ©diterranĂ©e 23 cm Marquage obligatoire Sardina pilchardus La sardine appartient Ă  la famille des ClupĂ©idĂ©s qui comprend six espĂšces europĂ©ennes parmi lesquelles le hareng et les aloses. Les clupĂ©idĂ©s sont des poissons Ă  nageoires sans Ă©pines. Ils n’ont qu’une seule nageoire dorsale courte et leurs nageoires pelviennes sont insĂ©rĂ©es en position abdominale, nettement en arriĂšre de la sardine se reconnaĂźt Ă  la prĂ©sence de stries sur l’opercule et Ă  l’existence, au niveau de la nageoire anale, de deux rayons plus longs que les autres. Ces caractĂšres suffisent Ă  la diffĂ©rencier des autres clupeidĂ©s et notamment des aloses chez lesquelles tous les rayons de la nageoire anale sont de taille semblable. L’espĂšce vit en MĂ©diterranĂ©e et en ocĂ©an Atlantique du SĂ©nĂ©gal Ă  la NorvĂšge. La sardine peut atteindre la taille maximale de 25 cm. C’est une espĂšce pĂ©lagique formant des bancs importants. Elle se nourrit principalement de plancton. D’une grande importance Ă©conomique, elle est pĂȘchĂ©e Ă  la bolinche et au chalut pĂ©lagique. Elle est consommĂ©e fraĂźche ou en rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 11 cm - MĂ©diterranĂ©e 11 cm Marquage obligatoire Solea solea La sole appartient Ă  la famille des SoleidĂ©s qui regroupe des poissons plats au corps en ovale allongĂ© et trĂšs comprimĂ©. Ces espĂšces possĂšdent, par ailleurs, un museau arrondi avec une bouche petite et arquĂ©e. Les yeux sont situĂ©s sur le cĂŽtĂ© droit du corps. La sole ne peut ĂȘtre confondue qu’avec les autres espĂšces de la mĂȘme famille. La prĂ©sence, sur la face aveugle cĂŽtĂ© gauche, d’une nageoire pectorale normalement dĂ©veloppĂ©e et l’existence sur ce mĂȘme cĂŽtĂ© d’une narine de petite taille sont des caractĂšres qui permettent de diffĂ©rencier la sole de plusieurs autres espĂšces de soleidĂ©s. La confusion avec le cĂ©teau Dicologoglossa cuneata qui possĂšde un corps trĂšs allongĂ© est Ă©galement facilement Ă©vitable. Seule Solea senegalensis Kaup, 1858 peut ĂȘtre confondue avec S. solea. Les deux espĂšces sont trĂšs proches et la distinction entre elles nĂ©cessite un examen minutieux des nageoires. Chez S. senegalensis, la nageoire pectorale prĂ©sente une membrane trĂšs sombre portĂ©e par des rayons blanc-gris. Chez S. solea seule la partie postĂ©rieure de cette mĂȘme nageoire porte une tache sombre arrondie. Chez S. senegalensis la nageoire caudale est de couleur gris uniforme alors que chez S. solea elle prĂ©sente une bande plus foncĂ©e vers l’arriĂšre. La sole vit en MĂ©diterranĂ©e et en mer Noire. En ocĂ©an Atlantique, on la trouve depuis le SĂ©nĂ©gal et les Ăźles du Cap-Vert au sud, jusqu’au nord de l’Écosse et le sud de la NorvĂšge vers le nord. C’est une espĂšce Ă  croissance lente qui peut atteindre la taille maximale de 70 cm. Elle vit sur les fonds de sable et de vase depuis la cĂŽte jusqu’à des profondeurs de 200 m. C’est une espĂšce nocturne qui se nourrit principalement de vers, de petits crustacĂ©s et de petits bivalves. La sole est une espĂšce recherchĂ©e pour la qualitĂ© de sa chair. Elle est pĂȘchĂ©e au chalut et au rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord zone CIEM VIId 25 cm autres zones 24 cm - MĂ©diterranĂ©e 24 cm Marquage obligatoire Thunnus thynnus Le thon rouge fait partie de la famille des ScombridĂ©s oĂč se trouvent aussi le germon et les maquereaux. De taille maximale est de 2 m pour un poids supĂ©rieur Ă  500 kg, c’est un poisson dont le corps est fusiforme. Le dos est de couleur bleu-sombre, les flancs sont plus clairs et le ventre est argentĂ©. Le thon rouge ne peut ĂȘtre confondu qu’avec le germon et le thon obĂšse. Mais il possĂšde des nageoires pectorales courtes alors qu’elles sont longues chez ces deux est prĂ©sente en MĂ©diterranĂ©e et dans les eaux chaudes et tempĂ©rĂ©es des ocĂ©ans Atlantique, Pacifique et Indien. En Atlantique du nord-est, l’espĂšce se rarĂ©fie Ă  partir du sud des Ăźles Britanniques et de l’Irlande. Elle devient trĂšs occasionnelle plus au thon rouge est un poisson pĂ©lagique vivant en bancs. Il se tient prĂšs de la surface dans les eaux tempĂ©rĂ©es, mais vit jusqu’à 200 et 500 m de profondeur dans les eaux chaudes. Les individus effectuent de grandes migrations parfois thons adultes se nourrissent principalement de poissons pĂ©lagiques hareng, maquereau etc.. Leur rĂ©gime alimentaire est complĂ©tĂ© par des mollusques cĂ©phalopodes et parfois des crustacĂ©s nageurs. Leur chair est trĂšs apprĂ©ciĂ©e, notamment au Japon, et l’espĂšce fait l’objet d’une pĂȘche ciblĂ©e Ă  la ligne ou Ă  la rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 115 cm ou 30kgs [QUOTA] - MĂ©diterranĂ©e 115 cm ou 30kgs [QUOTA] Marquage obligatoire Scophthalmus maximus Le turbot fait partie comme la barbue et la cardine de la famille des ScophthalmidĂ©s. Avec les deux yeux situĂ©s sur le cĂŽtĂ© gauche et un corps relativement haut, le turbot se diffĂ©rencie des poissons plats appartenant Ă  d’autres familles. Il se reconnaĂźt aisĂ©ment par rapport au targeur qui possĂšde un corps rectangulaire et ne peut ĂȘtre rĂ©ellement confondu qu’avec la barbue. Mais celle-ci a une peau lisse alors que chez le turbot la prĂ©sence de petits tubercules osseux donne Ă  la peau un aspect et un toucher turbot vit en MĂ©diterranĂ©e et en mer Noire. En ocĂ©an Atlantique, l’espĂšce existe depuis les Ăźles Canaries jusqu’à la vit entre 10 et 200 m de profondeur. Les jeunes sont exclusivement cĂŽtiers et vivent sur les petits fonds 10-20 m. En vieillissant les individus vont migrer vers le large et des profondeurs plus importantes. L’espĂšce peut atteindre la taille de 1 m pour un poids de 25 kg. Elle se nourrit principalement de poissons mais consomme Ă©galement quelques mollusques cĂ©phalopodes, des vers et des crustacĂ©s. L’espĂšce est trĂšs recherchĂ©e pour la qualitĂ© de sa chair. Elle est pĂȘchĂ©e au chalut de fond et Ă  la palangre. Elle fait Ă©galement l’objet d’élevage industrialisĂ©. Taille rĂ©glementaire - Atlantique, manche et mer du nord 30 cm - MĂ©diterranĂ©e - Marquage obligatoire
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ÀMarseille, l'association Palana Environnement rĂ©cupĂšre les filets de pĂȘche perdus en mer. Les filets de pĂȘche reprĂ©sentent 10% des dĂ©chets mondiaux dans les ocĂ©ans et sont nocifs pour
Interfector PostĂ© le 8/11/2016 1253 Mis Ă  jour 8/11/2016 1253 Je suis accroInscrit le 20/4/2014 Envois 1479 Karma 1621 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 10 Faire fuir un animal marin en l'arrosant d'eau, best method ever Sinon yen a ici qui sont serieusement en train de prendre l'exemple d'un petit bateau de peche avec un petit filet de surface qui relache un lion de mer vivant comme symbole de la peche industrielle qui fait des ravages dans les oceans du monde entier et les fonds marins?Serieux ou c'est du troll? Et ca arrive ne top commentaire en plus?? J'espere qu'aucun de vous ne mange de poisson dans ce cas la. keranops PostĂ© le 8/11/2016 1155 Mis Ă  jour 8/11/2016 1155 Je m'installeInscrit le 31/12/2006 Envois 236 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 7 Petit post troll ça fait longtemps Un bel exemple de l'aspect dĂ©vastateur des mĂ©thodes de pĂȘche. Profitez dans 10 ans pour bouffer du poisson sa va ĂȘtre beaucoup plus compliquĂ© L'homme et la gestion des ressources naturelles Auteur Conversation sigzegv PostĂ© le 8/11/2016 1138 Mis Ă  jour 8/11/2016 1138 Je m'installeInscrit le 23/7/2008 Envois 276 Karma 402 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 2 ca fait le meme effet que qd on ouvre un kinder surprise.. Hiboude PostĂ© le 8/11/2016 1140 Mis Ă  jour 8/11/2016 1140 Je viens d'arriverInscrit le 28/8/2015 Envois 46 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 2 Je suis déçu j'aurais prĂ©fĂ©rĂ© une sirĂšne ... max524 PostĂ© le 8/11/2016 1141 Mis Ă  jour 8/11/2016 1141 Je masterise !Inscrit le 16/3/2014 Envois 2456 Karma 1232 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 4 c'est un filet garni lokaloo PostĂ© le 8/11/2016 1144 Mis Ă  jour 8/11/2016 1144 Je suis accroInscrit le 27/6/2008 Envois 903 Karma 690 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 3 Il a de la chance de ne pas ĂȘtre mort noyĂ© .... keranops PostĂ© le 8/11/2016 1155 Mis Ă  jour 8/11/2016 1155 Je m'installeInscrit le 31/12/2006 Envois 236 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 7 Petit post troll ça fait longtemps Un bel exemple de l'aspect dĂ©vastateur des mĂ©thodes de pĂȘche. Profitez dans 10 ans pour bouffer du poisson sa va ĂȘtre beaucoup plus compliquĂ© L'homme et la gestion des ressources naturelles Alexander_great PostĂ© le 8/11/2016 1205 Mis Ă  jour 8/11/2016 1205 Je m'installeInscrit le 10/10/2013 Envois 169 Karma 92 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 Tout le problĂšme de la pĂšche actuel reprĂ©senter ici, on remonte tout et n'importe quoi indiffĂ©remment et en grande quantitĂ©. Wakkai PostĂ© le 8/11/2016 1209 Mis Ă  jour 8/11/2016 1209 Je suis accroInscrit le 8/10/2012 Envois 817 Karma 1711 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 C'est moi ou ils lui tirent dessus Ă  148 ?Par contre j'arrive pas Ă  voir ce que c'est ? Air comprimĂ© ? ShirazAdama PostĂ© le 8/11/2016 1214 Mis Ă  jour 8/11/2016 1214 Je viens d'arriverInscrit le 19/6/2016 Envois 9 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 keranops A crĂ©dit comme avec les que la Nature, on ne peut pas la crĂ©er virtuellement. DevdX PostĂ© le 8/11/2016 1218 Mis Ă  jour 8/11/2016 1218 Je suis accroInscrit le 19/6/2014 Envois 969 Karma 1323 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 Ça montre bien Ă  quel point les mĂ©thodes de pĂȘche actuelles sont destructrices ... 365wanda PostĂ© le 8/11/2016 1225 Mis Ă  jour 8/11/2016 1225 J'aime glander iciInscrit le 4/1/2006 Envois 6760 Karma 4109 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 1 Alexander_great Franchement mieux vaut de petits filets comme ceux lĂ  que les kilomĂ©triques lithit PostĂ© le 8/11/2016 1226 Mis Ă  jour 8/11/2016 1226 Je suis accroInscrit le 25/7/2013 Envois 1650 Karma 3290 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 Une belle bande de ... !oops J'ai beau ĂȘtre un pĂȘcheur au leurre je dĂ©teste le monde de la pĂȘche pro. MĂȘme si nous trimballons nous aussi pas mal de tocard dans la pĂȘche de loisir. -? Nefro PostĂ© le 8/11/2016 1233 Mis Ă  jour 8/11/2016 1233 Je suis accroInscrit le 13/5/2014 Envois 1004 Karma 1154 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 2 lithit Ça va aller ?LĂ  ça va, c'est encore de la pĂȘche Ă  petit volume.... maintenant imagine les Ă©normes bateaux usines qui raclent les fonts des mers et dĂ©truisent tout sans laisser la moindre chance ? lithit PostĂ© le 8/11/2016 1248 Mis Ă  jour 8/11/2016 1248 Je suis accroInscrit le 25/7/2013 Envois 1650 Karma 3290 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 Nefro Je sais bien qu'il y a pire, il y a toujours pire. Pour autant cela ne me donne pas forcĂ©ment envie de cautionner ce mode de pĂȘche. Nazor95 PostĂ© le 8/11/2016 1248 Mis Ă  jour 8/11/2016 1248 Je suis accroInscrit le 17/2/2011 Envois 898 Karma 176 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 5 Et dans le filet prĂ©cĂ©dent, ils ont pĂȘchĂ© un chien, le monde est fou. Interfector PostĂ© le 8/11/2016 1253 Mis Ă  jour 8/11/2016 1253 Je suis accroInscrit le 20/4/2014 Envois 1479 Karma 1621 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 10 Faire fuir un animal marin en l'arrosant d'eau, best method ever Sinon yen a ici qui sont serieusement en train de prendre l'exemple d'un petit bateau de peche avec un petit filet de surface qui relache un lion de mer vivant comme symbole de la peche industrielle qui fait des ravages dans les oceans du monde entier et les fonds marins?Serieux ou c'est du troll? Et ca arrive ne top commentaire en plus?? J'espere qu'aucun de vous ne mange de poisson dans ce cas la. klarkk PostĂ© le 8/11/2016 1325 Mis Ă  jour 8/11/2016 1326 Je suis accroInscrit le 22/6/2012 Envois 833 Karma 614 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 Interfector Pas besoin d'ĂȘtre mĂ©prisant avec les autres, surtout que Nefro a dĂ©jĂ  eu la mĂȘme rĂ©flexion que toi plus haut. AlexKidd PostĂ© le 8/11/2016 1329 Mis Ă  jour 8/11/2016 1329 Je suis accroInscrit le 26/7/2004 Envois 652 Karma 497 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 Je trouve que les pĂ©cheurs ont encore Ă©tĂ© auraient pu essayer de l’abattre pour le revendre, hors ils ont l'air de le laisser s'Ă©chapper. dtclulu PostĂ© le 8/11/2016 1339 Mis Ă  jour 8/11/2016 1339 Je masterise !Inscrit le 30/12/2014 Envois 2879 Karma 7559 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 1 mais c'est qu'il veut pas partir le gros pĂ©pĂšre !! Interfector PostĂ© le 8/11/2016 1343 Mis Ă  jour 8/11/2016 1343 Je suis accroInscrit le 20/4/2014 Envois 1479 Karma 1621 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 klarkk Pauvre choupi, j'ai ete mĂ©prisant, c'est dur hein, c'est pas du mepris, c'est juste que je suis atterĂ© face a autant de manque de discernement de certain et que oui, je reconextualise les chose. Si pour toi c'est du mepris, comment je dois prendre ton msg qui, sous pretexte que quelqu'un a postĂ© avant moi, m'emprunt a me taire? Ca va le melon de ton cotĂ©?Sinon le msg que tu mentionnes n'etait pas la quand j'ai postĂ©. Bhawi, j'ai commencĂ© a ecrire et j'ai regardĂ© qq video de peche du coup... plutot que d'ecrire "oh mon dieu les mechants" sans savoir de quoi on parle. Croc63 PostĂ© le 8/11/2016 1355 Mis Ă  jour 8/11/2016 1355 Je poste tropInscrit le 24/2/2009 Envois 20371 Karma 12742 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 Je m'attendais a voir le plongeur qui s'est retrouvĂ© proche de l'hĂ©lice d'un cargo, je suis déçu! Pauvre pĂšpĂšre il est tout hagard! Il aurait pu se faire briser le cou ou se faire Ă©touffer! bon, il y a rien de bien mĂ©chant, la! C'est un petit filet qui est vite remontĂ© permettant aux espĂšces qui n'ont rien a foutre la dedans d'ĂȘtre remis rapidement a l'eau bien que je conçoit qu'il y ai des pertes! Rien a voir avec les filets sur plusieurs bornes qui attrapent vraiment tout laissant crever les bestioles prisent au piĂšge dedans.... user149821 PostĂ© le 8/11/2016 1358 Mis Ă  jour 8/11/2016 1358 Je m'installeInscrit le 11/10/2016 Envois 293 Karma 306 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 2 Interfector Le titre de la vidĂ©o fait trop putaclic "Ce que l'industrie du thon ne veut pas vous montrer".Ils auraient pu y aller Ă  fond, du genre "Cette filiĂšre du thon a dĂ©couvert une technique incroyable. Toutes les autres filiĂšres de pĂȘche la dĂ©testent." azertyuiop69 PostĂ© le 8/11/2016 1421 Mis Ă  jour 8/11/2016 1421 Je suis accroInscrit le 6/7/2009 Envois 894 Karma 1142 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 3 PKLPK "Ce bateau de pĂȘche a remontĂ©s 10 espĂšces incroyable, la 8Ăšme va vous laisser sans voix !" Airgum PostĂ© le 8/11/2016 1421 Mis Ă  jour 8/11/2016 1421 Je m'installeInscrit le 26/1/2015 Envois 439 Karma 301 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 Il a Ă©tĂ© vu dans le dernier Koreusity ce goinfre Ń‚ŃŽĐ»Đ”ĐœŃŒ Thyrianos PostĂ© le 8/11/2016 1436 Mis Ă  jour 8/11/2016 1436 Je suis accroInscrit le 9/2/2012 Envois 597 Karma 147 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 "Salut les gars ! Petite fĂȘte sur le bateau, c'est cool ... comment ça je suis pas invitĂ© ? Vraiment ? ...Vous ĂȘtes sur ? Bon ba je me tire !" Petis PostĂ© le 8/11/2016 1509 Mis Ă  jour 8/11/2016 1509 Je masterise !Inscrit le 15/12/2009 Envois 4781 Karma 3586 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 Tenter de repousser une bĂȘte hargneuse de plus de 300kg avec un tuyau d'arrosage check pincemoi PostĂ© le 8/11/2016 1541 Mis Ă  jour 8/11/2016 1541 J'aime glander iciInscrit le 1/12/2013 Envois 8585 Karma 814 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 sigzegv pensais net le mĂȘme lol Yazguen PostĂ© le 8/11/2016 1607 Mis Ă  jour 8/11/2016 1607 KodakInscrit le 18/2/2005 Envois 13771 Karma 13758 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 En attendant, il a du en mettre plein sa gueule le temps d'ĂȘtre cela se voit bien car il a du mal au sauter du bateau... Gwakito PostĂ© le 8/11/2016 1627 Mis Ă  jour 8/11/2016 1627 Je viens d'arriverInscrit le 4/10/2016 Envois 75 Karma 171 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 Y sont Ă  la cool les Japon, ils lui seraient tombĂ©s dessus Ă  10 Ă  la machette. mawt1 PostĂ© le 8/11/2016 1645 Mis Ă  jour 8/11/2016 1645 J'aime glander iciInscrit le 17/2/2008 Envois 6621 Karma 2563 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 1 InterfectorEt la vidĂ©o quand il relĂąche le lion de mer?? Faut renommer l'article par "Ce que Greenpeace ne veut pas nous montrer" Ouais dĂ©solĂ©.. OSilvosO PostĂ© le 8/11/2016 1754 Mis Ă  jour 8/11/2016 1754 Je m'installeInscrit le 10/10/2015 Envois 473 Karma 142 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 mawt1 "Et la vidĂ©o quand il relĂąche le lion de mer?? Faut renommer l'article par "Ce que Greenpeace ne veut pas nous montrer""Pas une vidĂ©o mais bon..."Ce que les gens qui Ă©tudient la question voudraient nous montrer"-En moyenne, toutes espĂšces confondues, les population marines ont perdu 50% de leur population ces 40 derniĂšres annĂ©esc'est marrant ça...c'est presque les mĂȘme proportion chez les mammifĂšres terrestres... .-Sur les principales espĂšces cibles de la pĂȘche ce chiffre monte bien plus haut le thon a ainsi perdu 75% de sa population.-Les principales rĂ©serves de poisson, les rĂ©cifs et les prairies marines, devraient, au rythme actuel, avoir disparu d'ici Ă  2050c'est marrant...lĂ  aussi c'est pareil que pour les mammifĂšres...et ça coĂŻncide avec les estimations concernant les derniers pics de production pĂ©troliĂšre, l'explosion des flux migratoire, la stabilisation puis la chute des populations humaines, etc... -PrĂšs d'un milliard d'ĂȘtres humains dĂ©pendent aujourd'hui de la mer pour leur subsistance...Et bien sĂ»r ce nombre va encore grimper vu que nous ne contrĂŽlons toujours pas notre dĂ©mographie...Du coup...dĂ©solĂ© oui... Diogene PostĂ© le 8/11/2016 2030 Mis Ă  jour 8/11/2016 2030 Je viens d'arriverInscrit le 19/8/2010 Envois 40 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 dtcluluAssis au milieu d'un Ă©norme paquet de friandises .. je le comprends ... Crazy-13 PostĂ© le 8/11/2016 2153 Mis Ă  jour 8/11/2016 2153 Pelle d'orInscrit le 9/12/2005 Envois 79296 Karma 7203 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 Du coup, ça rend la prise tout de suite moins bonne. Fafoune PostĂ© le 9/11/2016 002 Mis Ă  jour 9/11/2016 002 Je m'installeInscrit le 12/10/2012 Envois 315 Karma 402 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 Moi je vais devenir CONnibale, c'est Ă  dire mangeur de con humain. Seule truc qui augmente avec le temps et qu'on a dĂ©jĂ  en trĂšs grande quantitĂ©. klarkk PostĂ© le 9/11/2016 118 Mis Ă  jour 9/11/2016 118 Je suis accroInscrit le 22/6/2012 Envois 833 Karma 614 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 Interfector j'Ă©tais d'accord avec ton propos, juste pas avec la maniĂšre, et lĂ  tu continues. Bref, internet. Bonne soirĂ©e Txiii PostĂ© le 9/11/2016 2009 Mis Ă  jour 9/11/2016 2009 Je poste tropInscrit le 2/8/2004 Envois 12643 Re Des pĂȘcheurs ont une grosse surprise dans un filet de... 0 Des pĂȘcheurs attrapent ValĂ©rie Damidot dans leur filet
wcRD.
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